Butterfly

Follow the butterfly.

Jeudi 12 janvier 2006 à 21:13

En ce moment, j'ai des coups de fil qui sont essentiels à ma survie, a vous de juger :

- " Oh tu sais quoi ma chérie , je sors d'un cours de repassage !
- " Ah bah c'est beau l'armée ... "

- " Hep Kichette, j'ai acheter des culottes trop petites pour
mon gros cul, elles sont pas échangeables, tu veux pas m'les racheter ?
- " Tu me déranges dans mon plat de pates pour ça ? "



Butterfly ...
Overbookée ...
 

Mardi 10 janvier 2006 à 19:41


 [
Green Day - Wake Me Up When September Ends ]


Comment fait on pour crier son amour quand il n'est pas là ? Comment fait on pour se décharger de tout ce poids, de toute cette masse d'émotion quand la personne a qui l'ont voudrait l'apporter n'est pas là ? Dites moi comment ?
La porter sur quelqu'un d'autre ? Non, totalement impossible, cette solution là est totalement bannie de mon cerveau. La conserver en soit, cela aussi est impossible, il y a un moment où on craque, on finit toujours par craquer, par exploser car tout ça nous ronge de l'intérieur, tout ça nous bouffe, nous entoure, nous prend tout notre temps, on ne pense qu'a ça, qu'a lui, qu'a ce trop plein de sentiments.
Attendre, oui bien sur c'est ce que je vais faire. Mais je vais attendre dans la peur, dans le doute et dans la souffrance. Bien sur que je lui fais confiance, mais est ce que moi je me fais confiance ? Est-ce que je suis capable d'attendre sans littéralement péter un câble ?
Est-ce que je pourrais continuer a être la même après toute cette souffrance encourue ? Est-ce que je serais pareille, est ce que notre complicité sera la même, est ce que notre relation sera la même ?
Il y a une chance sur deux, elle sera soit anéantie et il faudra tout reprendre, tout recommencer, tout réapprendre, ou bien elle sera renforcée, on en ressortira plus fort, encore plus amoureux, ce nous que nous formons se rapprochera de plus en plus du « un », nous ne serons qu'un, parce qu'être un suffira amplement a notre bonheur.
Il y a une chance sur deux, c'est a pile ou face, on gagne ou on perd, voilà, voilà pourquoi ce jeu me fait si peur.

¤ Butterfly ¤

Samedi 7 janvier 2006 à 19:15



I
'm aware that a lot of people can't probably understand what I'll say or explain in this article, but I expect they will try, they will do an effort and after, they must be proud because they become conscious that they are not so stupid for understand English. It's my choice, and for one time, I want to do an article like I want, and not like the others expect I write. I aim at you becoming lenient if I do mistakes. I dream of being bilingual but I'm too far of the result. 
 

To my mind,
it's easier to speak about love in English. Why? In fact, I don't know, maybe the words are more appropriate in this language than in French.
He leaves my life during one week. He could do what he wants where I'll go, it's a difficult choice. We were puzzeled, and we have conclued that it's the best solution for him. Yes, it will be difficult, I know I'll probably cry, this night, or when I'll feel totally alone, but he has said the good words when he sees me for the last time. Just some words.
Don't forget me.

Even if I try, even if I do all the things in order to forget him, I can't, I can't fulfil because I don't want do to this kind of things. I'm accidently in love and I can't do differently.
I love. And I love loving.


¤ Butterfly ¤



Ps : Celui qui touche a la photo, je lui supprime automatiquement son blog, est ce clair ?

Dimanche 1er janvier 2006 à 18:53



Nous voilà en 2006, j'ai un très bon pressentiment pour cette année, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai la sensation que ça fait un an que j'attend qu'on passe enfin en 2006, c'est sûrement idiot et ça ne se fonde sur rien, mais comment dire ... J'le sens bien !

A vrai dire, je n'étais pas du tout partie pour faire un bilan de mon année 2005, je n'aime pas ça, c'est un peu comme si on tournait une page et qu'on voulait repartir sur de meilleures bases, qu'on voulait recommencer a zéro. Mais pourquoi faire ça spécialement à cette période, il est totalement absurde de ne prendre des bonnes résolutions que pour le nouvel an. Sachant qu'en plus, elles ne sont jamais ou très rarement tenues.
Les bonnes résolutions au fond, c'est quoi ? C'est une pression, un coup de stress qu'on se met, de plein gré, tout au long de l'année, dans le but de parvenir a telle ou telle chose. Où est l'intérêt ? Kichette cette année se rebelle, et attention ça ne rigole plus !

Sinon, que pourrais-je dire de mon année 2005, un peu comme tout le monde au final, chocs émotionnels assez violents, comme d'autres très intenses. Après tout on y peut rien, je suis persuadée que certains ont vécus de meilleures années que moi, je songe notamment à une période particulièrement difficile au début des vacances. Mais c'est comme tout, il faut savoir voir ce qui est important, ce qui est positif, même au milieu du pire. Et puis, on est tous humains, on fonctionne tous pareils, on a tous des bas et des hauts, c'est pareil pour chacun d'entre nous. A quoi cela servirait qu'un individu comme moi vous y raconte, puisque vous vivez sûrement la même chose ? Mais après tout, si on n'avait pas mauvaises périodes, on ne saurait pas apprécier pleinement les périodes de pur bonheur.

Bon, puisque vous y tenez absolument, si je prenais une bonne résolution, si il en fallait une ? Hum … Gardez le sourire, ça vous convient comme réponse ?


[ Andreas Johnson - Glorious ]



Butterfly

Jeudi 29 décembre 2005 à 21:26



Où est cette étincelle qui faisait sourire sans raison mon visage ? Où est ce brin de folie qui donnait de moi l'impression d'une fille dynamique et pleine de vie ?
Où est partie ma bonne humeur,
mes yeux pétillants de gaieté, et mon envie
insatiable de passer de bons moments ?
Où y ai-je laissé ?

Je crois que j'ai arrêté de vivre pleinement dès lors que je me suis mise à réfléchir. Se mettre à cogiter alors qu'on est en train de passer du temps avec quelqu'un, se mettre à réfléchir alors qu'on est en plein fou rire, se mettre à penser alors qu'on est aux anges.
Voilà, voilà la raison de tout cela, de cette baisse morale et physique, de ce sourire dépité qui orne mon visage. Mais pourquoi me suis je mise a penser ?
Pourquoi des questions sont arrivées dans ma tête ? Elles n'arrivent généralement que quand je suis seule, et que je n'ai rien d'autres à faire. Là, j'étais occupée, j'avais de quoi faire, et pourtant ...

|[ Comment on fait pour mettre en pause son cerveau et lui apprendre le sens du mot profiter plutôt que celui du mot se questionner ? ]|



[ Tool - You Lied ]


Butterfly ...



Mardi 27 décembre 2005 à 18:56



¤ Le monde de Narnia, chapitre 1 ¤ 

Le Monde de Narnia : chapitre 1 conte la lutte entre le bien et le mal qui oppose le magnifique lion Aslan aux forces des ténèbres dans le monde magique de Narnia. Grâce à ses sombres pouvoirs, la Sorcière Blanche a plongé Narnia dans un hiver qui dure depuis un siècle, mais une prédiction révèle que quatre enfants aideront Aslan à rompre la malédiction. Lorsque Lucy, Susan, Edmund et Peter Pevensie, quatre frères et soeurs, découvrent ce monde enchanté en y pénétrant à travers une armoire, tout est en place pour une bataille de proportions épiques...


Que dire? Par où commencer?
Un seul mot pourrait résumer ce film : Plagiat. Ce film n'est rien d'autre qu'un mélange entre Harry Potter et le seigneur des anneaux, et c'est malheureusement bien triste à dire. Je ne vais pas vous raconter le film, mais je peux vous donner des exemples frappant de copie pure et dure. Par exemple, dans le début, les enfants prennent le train, et c'est a ce moment précis qu'on a une vision d'en haut, le train continuant son chemin alors que la caméra s'éloigne peu a peu. C'est à se demander si ce train ne va pas à Poudlard.
Autre exemple, disons qu'à un moment ils reçoivent des cadeaux, des armes et tout ce qui va avec. C'est à se demander si ce n'est pas notre cher Frodon aux yeux bleus qui brandit triomphalement son épée. Le pire de tout, je crois, c'est le passage où on survole une carte, à la manière dont on survole le monde de Tolkien. Ca nous a néanmoins value quelques éclats de rire devant l'énormité du plagiat. Je suis consciente que Tolkien et C.S. Lewis ont plus ou moins travaillé ensemble et donc que leur livres se ressemblent. Mais est ce une raison pour tourner de la même manière ? Je pense qu'il y aurait eu de meilleures façons, au moins pour donner l'impression au spectateur de ne pas voir deux fois le même film.
En revanche, le film est parfait pour les enfants en bas age qui n'ont pas vu le seigneur des anneaux jugés trop violent par les parents. C'est véritablement un conte pour enfants, une sorte de seigneurs des anneaux plus poétique, moins sanglant, spécialement conçu pour nos chères têtes blondes. Recommandé pour les plus jeunes, mais plutôt déconseillé pour les amateurs de Tolkien qui verront une pâle copie de leur film fétiche. Après, ce n'est que mon point de vue, libre a d'autres d'apprécier ou non.

 


Butterfly ...
 

Samedi 24 décembre 2005 à 19:14


Une descente sous les étoiles, accoudée sur l'épaule du conducteur, simplement en train de voler, avec la sensation de rêver, que personne ne conduit, que la voiture avance seule. Nous sommes deux, persuadés que tout ne peux qu'aller bien, qu'on avancera ensemble, que tout les obstacles seront franchis sans problème.

On avance, tous, inlassablement sur cette route, mais cette fois je me sens plus forte, capable, comme si quelque chose en plus dans ma vie me donnait du courage, de l'entrain, et me donnait une envie inestimable de croire que la vie est belle. Ca vaut tout l'or du monde, être deux, penser a deux, avoir peur ensemble de l'avenir, tenter de se réconforter, tenter de persuader l'autre que tout ira bien, même si au fond on garde une pointe de doute.

Oh oui, du doute il y en a, et il y en aura toujours, et si un jour je reprenais le chemin, mais seule ? C'est de là que nait toute peur, c'est de là que toute angoisse à la possibilité de grandir, et de prendre une part beaucoup trop importante du cerveau.

|[ Si un jour tu as peur, si un jour tu penses a des choses impensables, surtout, surtout, n'oublie pas ce que je t'ai dit ]|

Ce sont des mots tout simples, mais des mots qui font chaud au coeur, et surtout des mots qui viennent de lui. Parce que ce soit, c'est le plus beau des cadeaux qu'il pouvait me faire.


[ Patrick Bruel - J'te l'dis quand même ]



Butterfly ...

Jeudi 22 décembre 2005 à 18:25


Il y a des fois où je ne peux plus, ou je ne supporte plus. Plus précisément je ne la supporte plus. Et c'est dans des cas comme ça, qu'on a simplement envie d'être exécrable, de chercher délibérément a faire du mal. Je suis aussi capable de m'énerver, derrière mon auréole il y a un être humain qui peut supporter beaucoup de choses, mais arrive un moment les nerfs ne supportent plus.




On croit connaître quelqu'un, avoir réussi a capter des détails de sa personnalité, et c'est a ce moment là qu'on découvre quelque chose de tout nouveau, et qu'on se retrouve face a la réalité. Aveuglée pendant une période, sans trop savoir pourquoi, on refuse de se le reconnaître, et pourtant elle est bien comme ça. Comment ? Pourquoi tant de haine me direz vous ? Parce qu'elle est double, elle ne raconte que ce qu'elle veut, en fonction des personnes, simplement dans le but de plaire, d'être appréciée. Et c'est en parlant avec d'autres, qu'on arrive à compléter le discours, et qu'on a l'histoire dans sa totalité. C'est à ce moment là qu'on est face a la réalité, face a ce qu'elle est vraiment. Ce qu'elle ne réalise pas, c'est qu'en agissant de la sorte encore, et encore, elle finira par se retrouver seule. Seule, c'est ce qu'elle redoute le plus, et malheureusement ce qui l'attend si elle ne change pas d'attitude.

Ah des bonnes poires il y en a, pour la déplacer, pour l'emmener de ci, de là, pour satisfaire ses caprices. Elle arrive à nous faire croire que c'est presque vital pour elle qu'elle se rende là bas. Et le pire dans tout ça, c'est qu'on marche, encore, et encore, alors qu'on est totalement conscient de tout cela. Il y a des fois ou elle me déçoit, des jours comme ça ou on se retrouve face a une personne qu'on croyait différente, à se demander si c'est véritablement d'elle qu'on parle. Compléter les histoires, ça sert, on apprend tout, on comprend tout, certaines parties sur lesquelles on avait pas réfléchi apparaissent soudain plus claires. Elle joue beaucoup, elle manipule trop, un jour elle se fera prendre a son propre piège, c'est simplement ce qui l'attend, et c'est malheureusement triste a dire.


[ Les Wriggles - Plouf ]

J'avais besoin de dire tout ça même si personne ne sait de qui je parle, j'avais besoin
de déverser cette colère quelque part. Je lui en toucherais un mot, c'est certain.
Pour ce qui est de la suite de notre relation, on verra bien, mais
des bases d'amitié ne peuvent se fonder qu'avec une personne qui est elle, et
simplement elle, et qui accepte de tout dire, sans gène, sans peur, sans
crainte d'être rejetée. C'est de cette manière qu'elle sera appréciée telle
qu'elle est, et pas en se créant une personnage qui n'est qu'une infime partie d'elle.



Butterfly ...

Lundi 19 décembre 2005 à 18:46






Il était une fois une jeune demoiselle qui regardait désespérément son clavier dans le but d'avoir une idée lumineuse, dans le but d'écrire de jolies choses, d'extérioriser ce qu'elle avait au fond d'elle. C'est en ayant écris quelques mots, sans aucun sens, sans aucune bribe de magie qu'elle s'est rendue compte que quelque chose ne tournait pas rond, qu'elle ne savais plus écrire, qu'elle ne sait plus rêver, ni faire rêver.
Quelque chose est parti, quoi elle ne sait pas, où elle le sait encore moins. Elle vient de comprendre que beaucoup de choses ont changé, beaucoup trop de choses … Finalement, elle a laissé son s'imbibé, elle avait pensé que c'était mieux, mieux pour oublier, mieux pour passer à autre chose, mieux pour simplement passer le temps. Mais en faisant ça elle s'est séparée, séparée de son ancien monde, de ces anciens amis, elle a formée inconsciemment une sorte de brèche, qui s'agrandie de jours en jours. Revenir dans son passé, elle n'en a pas vraiment envie, rester où elle est, elle n'en a également aucune envie, et elle a peur d'avancer, elle ne sait pas vraiment où elle met les pieds. Avant, elle restait sur place, elle avait la faculté de monter dans les airs, de s'envoler, simplement pour rêvasser et pour s'évader un peu de la réalité. A l'heure qu'il est, elle ne sait plus faire, c'est peut être ça, ça de si précieux qu'elle a perdu, ça qui s'est envolé. Elle ne fait que se déplacer latéralement, avançant, reculant, sans but précis, sans lieu ou finir sa marche. Elle cherche un autre endroit ou s'arrêter, un endroit ou elle se sentirait bien, et où elle retrouverait la faculté de simplement déployer ses ailes et remonter loin, là haut, dans les nuages, ramenant un peu de bonheur a distribuer a foison, pour faire naître des sourires.



[ Jeff Buckley - Dream Brother ]


J'ai beaucoup trop de choses en tête, beaucoup de choses que je garde pour moi, beaucoup d'idées qui circulent, et ça ne sort pas, ça refuse de sortir, c'est peut être pour ça que parfois j'ai l'impression que mon cerveau va exploser, que je me retrouve un peu perdue, que je ne sais plus quoi penser, que toutes mes idées se mélangent, que tout se brouille, et que j'ai une impression d'implosion interne, comme si mon mono neurone était incapable de gérer tout ça.
Désormais ce blog va revivre, pour que cette demoiselle extériorise ce qu'elle a en elle, pour que cette demoiselle puisse penser a des choses portant sur l'avenir plutôt que de ressasser du passé. C'est peut-être en me vidant, en déversant mes idées que je serais plus légère, et que je pourrais décoller a nouveau … peut être



¤ Butterfly ¤




Mardi 13 décembre 2005 à 18:00


[ Queen - I want to Break Free ]

Mes neurones s'échappent au fil des heures ... souhaitons que mon
cerveau ait encore la capacité d'allumer un ordinateur d'ici vendredi ...
Sinon, je n'ose imaginer ce qui attend cet espace.
Mais ne soyons pas pessimiste, et retournons perdre volontairement ces petites cellules miraculeuses qui sont censées faire fonctionner, ce qui me sert d'encéphale
à plein régime en période de bac blanc.



Butterfly ...

Mardi 6 décembre 2005 à 19:35


[ Gary Jules - Mad World ]


"On parle peut être pas des mêmes personnes, mais moi aussi,
j'aurais aimé qu'ils restent, parce qu'ils me manquent"

Elle a écrit ca en pensant a lui, au même titre que j'écris cet article en pensant a lui.
¤ A croire qu'en voulant apprendre a
sauver des vies, il en a oublier de vivre la sienne ¤



Si un jour il passe dans le coin, juste envie de lui dire
qu'il n'a pas été oublié, loin de là.

Butterfly ...

Samedi 3 décembre 2005 à 19:46



Je ne sais pas si vous avez remarquer, mais ça fait déjà plus de 5 jours que je n'ai pas posté, rien d'alarmant, certes, mais disons que je me suis sérieusement creusé la cervelle pour donner naissance a ce post ci. Qu'a-t-il de particulier ? En vérité pas grand, grand chose.

¤ C'est le 200ème ¤
Pour certains ce sera : Wow, 200 posts, déjà, c'est super il faut fêter ça ... Pour d'autre ce sera : Pourquoi est ce qu'elle fête ça, ce n'est jamais qu'un post comme les autres.

200 posts, au font qu'est ce que c'est ? Ce n'est jamais que 200 passages de ma vie, 200 réflexions personnelles, 200 petits bouts d'intimité que je juge suffisamment important pour exposer au grand jour, et suffisamment impersonnels pour ne pas trop dévoiler
tout ce qui construit ma vie et ma tête.

Des millions d'idées me parcouraient la tête pour ce post : les 200 plus beaux moments de la vie, les 200 choses que j'adore faire, les 200 mots qui ont une véritables importances pour moi … Pourquoi en mettre 200, alors qu'au fond, une seule chose suffirait pour
décrire un moment, une émotion, une passion ...

Alors je me suis demandé qu'est ce qu'un blog, comment ça se fait que je sois encore là, que j'ai encore des idées …  
Mais non, non, ce n'est pas ça la bonne question …
Qu'est ce que ça m'apporte ?

Oui, c'est ça la question, c'est ça.

Au fond rien, et pourtant des millions de choses. J'en apprends sur moi-même de jour en jour, je découvre certains procédés qui me composent, je commence parfois à cerner mon propre fonctionnement. J'arrive à soigner mes maux par mes mots, comme dirait une chère demoiselle. Et ça, ça … ça vaut tout les longs discours de remerciements, tout les longs discours d'énumération, toutes ces phrases qui ne servent pas à grand-chose et qui ne font que tourner autour du sujet sans véritablement dire ce que l'on ressent profondément.

Juste Merci, merci a ce blog, merci a ceux qui le lisent, merci a ceux qui y participent, … Un mot si simple, car les autres sont incapable d'en dire autant, avec tant de simplicité et de sincérité.


Butterfly ...

Changement ?

Lundi 28 novembre 2005 à 19:47

Ils fuient, ils partent telles une horde d'otaries andalouses ...
Pourquoi ? Parce qu'ils en ont marre ...

[ Enigma - Beyond the Invisible ]

Marre de voir des articles sur Tryo, sur l’alcool, la drogue et autres substances illicites, des poèmes suicidaires, des photos qui ont fait 15 fois le tour de la toile, des questionnaires a la con, des citations débiles, des posts tous similaires de type « joyeux halloween », marre de cette arrivée massive de langage SMS, marre de la philosophie des plus jeunes, et moi, j'en ai marre de les voir tous partir...

L'originalité consiste à essayer de faire comme
tout le monde sans y parvenir.
[Raymond Radiguet]


¤ Butterfly ¤



Vendredi 25 novembre 2005 à 18:15


Non, mon titre n'a rien de comprometant ... Bande de petits perverds !
Voilà la première chose que j'ai vu de ma journée, 7h10, j'ouvre les yeux, j'entrouve la fenêtre, je me saisi de mon appareil photo ... Et ...
... 20 putain de centimètres, de la poudreuse, de la peuf a foison, du bonheur a l'état pur ...



[ Vamos a la playa ]


Butterfly ...
Ensevlie !
 

Mercredi 23 novembre 2005 à 15:51



[ Rich Price - I'm On My Way ]

Il y a des mots ou expressions, qu'on met de coté, volontairement, pendant une période plus ou moins indeterminée. On les exclus de notre langage, on est a la limite de l'oubli, un oubli parfois inconscient, mais une mise a l'écart belle et bien réelle. On y pense pas, on n'en a pas conscience, et c'est un jour, en entendant de nouveau cette phrase qu'on a tant adulée pendant des mois, qu'on réfléchi a tout cela, qu'on se rend compte que l'on trie notre langage, que l'on selectionne selon le temps, selon la période, selon les envies, les mots qui composent notre parole, les mots qui font partis de nos vies.

" ... Oh, regarde, il neige ..."


Butterfly ...

Lundi 21 novembre 2005 à 18:45


[ The Full Monty - You can leave your hat on]

Je sais pas si vous avez remarqué, mais en ce moment il y a une masse de
jeunes demoiselles qui ont décidé de poser devant leur numérique en tenue plus que minime. Chose que je trouve particulièrement culotté, et que je respecte totalement. Certaines photos sont très belles, sans pour autant tomber dans le vulgaire, et c’est justement ce qui fait
tout le charme de ces photos. Ne pouvant fermer ma tendre grande gueule, j'ai voulu prouver au monde entier (au moins tout ca) que moi aussi j’peux être « mise a nue » … ^^

 

Bah quoi ? Vous vous attendiez pas a ca ? Vous allez pas m'dire que vous pensiez que j'allais me désapper, par le froid qui fait ! Pas folle la quiche !... Quoique ... 

¤ Butterfly ¤
Pov' débile que je suis ...

Samedi 19 novembre 2005 à 13:09




|[
Tu vois Véro, je sais que j’ai pas toujours été très bien. D’ailleurs les seules fois où je me suis senti bien, c’était dans tes bras. On m’a dit oublie la. C’est faux, au contraire il faut que je pense a toi tout le temps, a chaque instant, a chaque minute, a chaque seconde. Et quand je commencerais a penser deux fois la même chose, c’est que là j’serais en train de t’oublier, doucement, tendrement, sans m’faire de mal. C’est inévitable, inexorable, et beaucoup de mots en –able que moi aussi j’ai oublié. Un jour, dans la terrasse d’un café, dans un train, ou dans ma salle de bain, je penserais a toi. Et je me demanderais, quelle était la saveur de tes baisers, la douceur de tes caresses, l’odeur de ta peau. Et puis un autre jour, plus tard, on se croisera, et je serais surpris par le son de ta voix que j’imaginais différent. C’est normal, c’est la vie. Je sais aujourd’hui une chose, c’est que les histoires d’amour ne se terminent jamais vraiment, elles continuent, chacun de son coté.
Toi aussi, hélas, tu m’oublieras. Parfois j’me dis que j’aurais du te donner plus de souvenirs, pour que tu mettes plus longtemps a m’oublier. Aujourd’hui quand je me lève tu me manques, quand je me lave tu me manque, quand je me rase tu me manque, quand je marche dans la rue tu me manques, quand je fais l’amour … tu me manques. Quand je vis tu me manques. Mais je ne te l’ai jamais dit, et ça… ça... ça t’a manqué
]|



¤
Butterfly ¤

Lundi 14 novembre 2005 à 18:28


[ The Eagles - Hotel California ]

Comme promis, voici le résultat de mon flux d’inspiration de la semaine dernière,
et hop une dizaine de bannières en plus pour le site, ça passe le temps, ça m’occupe et ça m’amuse. Et en plus, tout le monde y trouve son compte puisque ça fait de nouvelles bannières pour le site, et un peu de nouveauté pour vous, chers consommateurs de designs blogesques.





















Comme toujours, je me répète, mais si vous avez une idée, une envie de bannière, une proposition quelconque, n’hésitez pas, je vous promet pas de vous y faire le jour même, je rappelle que j’ai une vie, que je ne suis pas une machine, et je ne suis pas non plus votre bonne. Mais ça me fait toujours plaisir de ravir quelqu’un en lui faisant plaisir.
Quoi de plus réjouissant que de voir sourire les gens ?


Butterfly ...
Enjoy ...

Vendredi 11 novembre 2005 à 15:58


J’ai souvent parlé de films tout au long de mon blog, mais j’avoue que là,
ca fait un petit moment que celui-ci manque de culture cinématographique.
J’adore regarder toute sorte de films, je suis pas contraignante, y’en a dans
tout les genres, de tout les styles, et j’en regarde a longueur de temps.
Pourquoi ne pas vous faire profiter de quelques récents petits « bijoux » qui m’ont particulièrement plu, qui m’ont touché, que j’ai adoré, ou bien
encore qui m’ont fait terriblement rire.


°°°°°°°°



¤ Lilo & Stich ¤


A l'autre bout de l'univers, un savant quelque peu dérangé a donné naissance à Stitch, la créature la plus intelligente et la plus destructrice qui ait jamais existé. Conscientes de son exceptionnel potentiel dévastateur, les autorités de sa planète s'apprêtent à l'arrêter, mais le petit monstre prend la poudre d'escampette à bord de son vaisseau spatial.
Stitch échoue sur Terre, en plein Pacifique, sur l'île d'Hawaii. Le petit alien est bientôt recueilli par Lilo, une adorable fillette de six ans qui le prend pour un chien abandonné. Celle-ci, élevée par sa grande soeur depuis la disparition de ses parents, croit enfin avoir trouvé le compagnon de jeu et l'ami qu'elle espérait. Stitch tente de dissimuler sa véritable nature, mais ceux de son monde sont déjà sur ses traces, prêts à tout pour l'éliminer.




Bah oui, un Disney (ou plus) ca fait du bien de temps en temps. J’ai beau avoir 17ans et des bananes, je ne me lasse jamais d’un bon dessin animé. Et alors ? J’assume ! Stitch, « charmante » créature aux allures de monstre sanguinaire est un exemple type, prouvant que l’on peut changer, que l’on peut évoluer. Film Disney particulièrement basé sur les valeurs familiales, l’un des films de Disney qui m’a fait le plus sourire.


" - Je te mettrais dans le mixeur et j’te servirais en limonade a l’inspecteur et quand il me demandera mon secret je lui dirais … de l’amouuuur. "
" - Tu crois que j’vais t’aider après tout ce que tu m’as fait ? Oui … D’accord … Bah quoi, il est très persuasif.
" - Aloaaaa … Ahhhh c’est un monstre … Oui, mais je suis aussi mignon et moelleux ! "





¤ Hercule ¤   



Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d'Hercule, fils de Zeus, Hades, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l'Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, apres avoir eliminé le seul dieu capable de le tenir en échec: Hercule.


C’est géant, Hercule dans le vent. Un autre Disney (bah oui, j’suis lancée !) particulièrement musical, des chansons marquantes, qu’on chantonne des jours entiers, et puis une savante façon de transformer une histoire antique en divertissement moderne, qui en ravira plus d’un …
... ou plus d’une …

°°°°°°°°

Bon, je vais m’éloigner des dessins animés, pour me diriger vers un domaine que certains ne vont sûrement pas apprécier du tout … Je préviens, si vous n’aimez pas tout ce qui est lourd a souhait, descendez quelque peu et éviter de jeter un œil sur les deux films qui suivent …


°°°°°°°°


¤ RRRRrrrr ¤



Il y a 37 000 ans, deux tribus voisines vivaient en paix... à un cheveu près. Pendant que la tribu des Cheveux Propres coulait des jours paisibles en gardant pour elle seule le secret de la formule du shampooing, la tribu des Cheveux Sales se lamentait. Son chef décida d'envoyer un espion pour voler la recette. Mais un événement bien plus grave allait bouleverser la vie des Cheveux Propres : pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, un crime venait d'être commis. Comment découvrir son auteur ? Au temps des mammouths et des moumoutes commence la première enquête policière de l'Histoire.


Nous voici à l’age de pierre. Pierre ? - Présent ? Pierre ? - Présent ? Pierre ? Tiens Pierre n’est pas là … Je suppose que Pierre n’est pas là non plus …

Oui, ce film est lourd, oui ce film est con, et oui j’adore ce film. C’est le genre de film que tu regardes après avoir révisé pendant 4heures un Ds de maths, et que tu as envie d’évacuer le stress, et de te reposer les neurones. Des passages lourds, des blagues bidons, pendant près de deux heures, mais des phrases mythiques, qui se balancent a toutes les sauces, des sourires qui se lisent sur de nombreux visages quand au milieu d’une interro, tu ressorts dans un silence des plus total un : « Y va faire tout noir »… Comprendra qui pourra ...  



¤ Ace Ventura detective privé ¤


Ace Ventura, un jeune homme décontracté à la banane arrogante et à la démarche élastique, est le Sherlock Holmes de la gente canine. Le voici à nouveau sur les dents quand le dauphin Flocon de neige, la mascotte de l'équipe de football américain de Miami, manque à l'appel.


Tout aussi con et lourd que le précédent. Je vous avais dit que ce genre de film ne plairais pas a tous. J’aime ce genre de film pour les quelques passages mythiques, qu’y se ressortent a tout va, dans toutes les situations, et qui font toujours autant rire


" - C’était pas flocon, c’était pas flocon …"
" - Si je suis pas revenu d’ici 5 minutes … Attendez plus longtemps … "
" - Ahhh, tu la sens ma grooossse … intelligence ! "





... Bon, bon, j’arrete mes conneries, je vous avais promis des bijoux, les voila ! ...


¤ Collatéral ¤


Max est taxi de nuit à Los Angeles. Un soir, il se lie d'amitié avec une dénommée Annie Farrell, une belle femme procureur montée à l'arrière de son véhicule. Quelques minutes plus tard, c'est au tour d'un homme prénommé Vincent de monter dans le taxi. Un businessman, selon toute apparence, avec un emploi du temps chargé : pas moins de cinq rendez-vous à tenir dans la nuit. Max accepte de lui louer ses services jusqu'au petit matin, en échange de 600 dollars.
Premier arrêt. Vincent entre dans un immeuble. Un coup de feu éclate aussitôt, un corps plonge dans le vide, s'écrasant sur le toit du taxi. Vincent redescend et, sous la menace de son arme, oblige Max à dissimuler le cadavre dans le coffre et à reprendre son mortel périple. Un chauffeur de taxi, un tueur implacable, cinq "cibles" à éliminer, des agents des stups et une équipe du FBI... Leurs destins se joueront cette nuit...


Un film a voir, absolument, on se plonge dès les premières secondes dans l’action, dans le film, et cela jusqu'au bout. Impossible d’en décrocher l’œil, ne serait ce qu’une minute. Un film qui vous tient vraiment en haleine tout au long, un film que je conseille vivement. ( En plus mesdemoiselles, qui ne succomberait pas au charme de Tom Cruise ? )




¤ Un long dimanche de fiancailles ¤




En 1919, Mathilde a 19 ans. Deux ans plus tôt, son fiancé Manech est parti sur le front de la Somme. Comme des millions d'autres, il est "mort au champ d'honneur". C'est écrit noir sur blanc sur l'avis officiel. Pourtant, Mathilde refuse d'admettre cette évidence. Si Manech était mort, elle le saurait !
Elle se raccroche à son intuition comme au dernier fil ténu qui la relierait encore à son amant. Un ancien sergent a beau lui raconter que Manech est mort sur le no man's land d'une tranchée nommée Bingo Crépuscule, en compagnie de quatre autres condamnés à mort pour mutilation volontaire ; rien n'y fait. Mathilde refuse de lâcher le fil. Elle s'y cramponne avec la foi du charbonnier et se lance dans une véritable contre-enquête.
De faux espoirs en incertitudes, elle va démêler peu à peu la vérité sur le sort de Manech et de ses quatre camarades.



Un film magnifique, débordant de sincérité, de magie, un film qui nous plonge en plein dans une guerre, dans cette putain de guerre, mais derrière tout ca une intrigue, une histoire d’amour, un espoir, cet espoir qui permet de tenir une demoiselle en vie, une Audrey Tautou qui joue a merveille. Un film que je qualifierais simplement de beau, tellement les mots me manquent … Pour ceux qui ont aimé Amélie Poulain, le réalisateur a toujours cette même façon de filmer, qui lui est propre, qui est bien particulière, mais qui plonge le film dans une certaine atmosphère, une certaine magie. Juste magnifique. Merci.



¤ Le Terminal ¤


Viktor Navorski est l'un de ces milliers de touristes, venus des quatre coins du monde, qui débarquent chaque jour à l'Aéroport JFK de New York. Mais, à quelques heures de son arrivée, voilà qu'un coup d'État bouleverse sa petite république d'Europe Centrale, mettant celle-ci au ban des nations et faisant de Viktor... un apatride. Les portes de l'Amérique se ferment devant lui, alors même que se bouclent les frontières de son pays : Viktor est bel et bien coincé...


Quoi de pire que de se retrouver coincé entre 4murs, sans la possibilité de sortir ? Un scénario innovateur et original, avec un Tom Hanks jouant magnifiquement bien, et qu’on observe se débrouiller tant bien que mal.  Un film mêlant sincérité et humour, peut être un peu long parfois, mais qu’au final, on adore dans la plupart des cas. 




¤ Million dollar baby
¤


Rejeté depuis longtemps par sa fille, l'entraîneur Frankie Dunn s'est replié sur lui-même et vit dans un désert affectif, en évitant toute relation qui pourrait accroître sa douleur et sa culpabilité.
Le jour où Maggie Fitzgerald, 31 ans, pousse la porte de son gymnase à la recherche d'un coach, elle n'amène pas seulement avec elle sa jeunesse et sa force, mais aussi une histoire jalonnée d'épreuves et une exigence, vitale et urgente : monter sur le ring, entraînée par Frankie, et enfin concrétiser le rêve d'une vie.
Après avoir repoussé plusieurs fois sa demande, Frankie se laisse convaincre par l'inflexible détermination de la jeune femme. Une relation mouvementée, tour à tour stimulante et exaspérante, se noue entre eux, au fil de laquelle Maggie et l'entraîneur se découvrent une communauté d'esprit et une complicité inattendues...



Film magnifique, rien a dire de plus, simplement a voir, le plus rapidement possible. Je peux pas en parler, j’arrive pas a sortir quoique ce soit sur ce film, il est simplement … Wow


°°°°°°°°

J’aurais eu de nombreux autres films dont j’aurais pu vous parler, mais par manque de temps, j’préfère reporter ça a plus tard, sur ce, chers c0w, je vous laisse a vos locations de Dvd … 
Enjoy !


¤ Butterfly ¤

Jeudi 10 novembre 2005 à 19:15



... Je reviens de deux heures d'arts plastiques ...
... Je suis en pleine poussée d'inspiration ..
... Très prochainement, de nouvelles banières by Butterfly, seront ajoutées ...
... Si vous avez une quelconque idée, ou proposition, n'hésitez pas ...


¤ Butterfly ¤

Succombant a l'art ...

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