Butterfly

Follow the butterfly.

Mercredi 28 septembre 2005 à 14:07





[ Fool's Garden - Lemon Tree ]


Au gré de mes divaguations sur la toile, je ne sais plus ou, je ne sais plus quand mais j’étais tombée sur un site demandant ceci :


1.
Ouvrez un nouveau document Word
2. Tapez le texte suivant : =rand(1,1)
3. Appuyez sur "Entrée"


Et j’avoue que le résultat est plutot illarant, si quelqu’un veut bien éclairer ma lumière et me dire a quoi ceci peut bien servir, j’en serais ravie.
 




      Butterfly 
          Perplexe ?

Lundi 26 septembre 2005 à 18:40


[ Dialogue d'Amélie Poulain ]

" Qu’écrire ? Que faire ? Comment réagir ? Comment ça se passe autour ? Comment c’est la vie en dehors d’ici ? Qui de nous partira le premier ? Tu crois que je me marierais ? Tu crois que la vie c’est comme ça ? Tu crois que j’arrêterais de voir défiler les minutes ? Tu crois qu’il reviendra ? Comment ? Pourquoi ? A quoi bon ? Est-ce que je vis la tout de suite ?
Qu’est ce que j’aimerais faire ? Plus tard ? Quand ? Comment ? Ou es tu ?
Pourquoi tu n’es pas là ? Et toi, tu en penses quoi ? Comment ça ?
Est-ce que je vais mourir un jour ? Est-ce qu’une journée de ma vie se passera sans sourire ? Est-ce que je vais finir comme lui ? Comme eux ? Comme toi ? Qui a parlé de finir ? Comment ? Dans quelles circonstances ? Tu ne veux pas aller ailleurs ? Changer d’air ? Voir du monde ? Tu ne veux pas arrêter de taper ? Arrêter ? Tu ne connais plus ce sens ? S’il te plait, donne moi des réponses ? Comment ça ? Tu ne veux pas ? Mais explique moi ? A quoi ça sert ? Quel intérêt ? Attendre, a quoi bon ? Rêver a quoi bon ? Qu’est ce qu’on fait maintenant ?
Comment en est on arrivé là ? Ne sens tu pas comme j’ai besoin de toi ? de lui ? Pourquoi pas ?
Pourquoi je ne me réveille pas ? Pourquoi je garde les yeux fermés ? Pourquoi je ne vois jamais rien ? Pourquoi je souris même quand ça ne va pas ? Pourquoi j’ai envie de lui murmurer des choses ? Pourquoi ne pas hurler ? Comment c’est là haut ? Et là bas ?
Pourquoi ne pas y aller ? Pourquoi pas ? Ca fait quoi de changer ? Quel est le sens de ce mot ? Je ne comprends pas ? Est-ce que tu cherches à comprendre ? A quoi ça sert tout ça ? A quoi ça rime tout ce que j’entends ? Est-ce que ça le fera revenir ?
Comment ? Pourrais je y arriver ? Pourrais je croire en moi ? Juste une fois ? Juste une minute ? A-t-il la peau douce ? Je ne sais plus ? Je devrais savoir ? J’en doute ?
Mais a qui je parle ? A toi ? A lui ? A moi ? A quoi ça sert tout ça ? Est-ce que le temps s’arrête quand on dort ? Est-ce qu’on ne se rend pas compte de choses qui se passent sous notre nez ? Est-ce qu’on peut être aveugle a ce point ? Tu ne m’entends pas ?
Mais pourquoi tu ne veux pas m’écouter ? Pourquoi tu as peur de moi ? Pourquoi tu as si peur de toi ? Tu n’es pas un monstre ? Tu n’en as pas l’air ? Alors pourquoi ? Pourquoi se poser des questions ? A quoi ça peut bien servir de parler ? Pourquoi ne pas se regarder ? Tu veux des enfants ? Tu veux vivre encore comme ça ? Tu m’aimes ? Demande moi si je t’aime ? Tu penses que je ne te répondrais pas ? Qu’est ce que tu en sais ?
Tu ne sais même pas qui tu es ? Tu ne sais même pas où tu vas ? Tu ne sais même pas a quoi tu sers ? A quoi bon ? Comment ? Je ne comprends plus ? Où suis-je ? Où sommes nous ? Pourquoi es tu là sans l’être réellement ? Dis moi ? S’il te plait ? Tu ne veux pas me répondre ? C’est quoi l’amour ? On va ou quand on meurt ? On sert a quoi ici ?
A l’instant présent ? Rien ça existe ? Quel est le sens de ce mot ? Et moi j’existe ?
Qu’est ce qui me le prouve ? Je rêve ? Je suis dans ton rêve ? Dis moi où je suis ? Par pitié répond moi ? Comment vas-tu ? Je suis perdue ? Je suis ici ? Ou la bas ?
Tu n’entends rien ? M’as-tu déjà écouté ? C’est bien ? C’était mieux ? On s’en va ?
S’il te plait vient avec moi ? Que veux tu me dire ? S’il te plait parle moi ? Pourquoi doit on se dire adieu ? Pourquoi pas a bientôt ? Pourquoi si tôt ? Tu penses que je pourrais ? Tu penses que tu y arriveras ? Tu ne crois pas que ne plus penser serait mieux ?
Ou es tu ? Mais ou vas-tu ? Arrêter ? Est-ce possible ? Si seulement … "




Butterfly ...
Questionnement ?

Dimanche 25 septembre 2005 à 19:13

Je descend et tu me cours après comme dans
les vieux films kitchs en noir et blanc, ou bien je descend et tu t'en vas comme
dans les films dramatiques ou tout le monde pleure a la fin ?

... Je descend ...




... Et il est parti ...

Jeudi 22 septembre 2005 à 18:25



Petite entracte, pensée a Geluck,
dessinateur de génie que je ne me lasse pas de lire.
" Je suis a la recherche de l'homme parfait, pouriez vous m'aider a le retrouver ? "

Butterfly ...
So Tired ...

Mardi 20 septembre 2005 à 19:59

Un c'est bien,
Deux c'est mieux,
Trois c'est trop.



J'ai remis un peu la chose à ma sauce.
Penser a quelqu’un c’est dur, ça fait mal, on se pose un bon demi milliard de questions. Qu’est ce qu’il peut bien se passer dans la tête de cet individu de sexe opposé ? Qu’est ce qu’il a l’intention de faire a mon petit cœur meurtri ? Comment me voit il ? De qu
elle façon pense t il a moi ? Que cache son terrible et redoutable regard bleu océan ?
Bref, vous nous changerez pas, nous les filles, ont cogite comme ça. C’est dans la logique des choses que de passer par toutes ses interrogations. Amies ? Ennemies ? Parfois ces questions permettent un véritables questionnement (c’est le principe) et
une belle remise en question (D’où le nom).
Par contre, ces mêmes interrogations enlèvent bien souvent toute spontanéité.
On réfléchi trop, a comment y aller, comment réagir, comment le
regarder, si le sourire il est pas un chouillat trop crispé ?

* Un c’est bien *

Penser a deux personnes, ça devient un peu plus complexe. Lequel serait le mieux. Lui a ceci que l’autre n’a pas. Lui a cela, c’est bien, mais l’autre n’est pas comme ça, en revanche il a ceci. Oui j’exagère, oui on dirait que je considère ces messieurs comme des morceaux de viandes fraîches (ce qu’ils sont pour nos petits estomacs affamés). Mais je tiens à préciser que je traite de tout ça avec humour, et qu’il ne faut pas prendre tout ce que j’dis comme la parole divine, vous auriez plutôt tendance a y prendre au 27ème degré que ça m’arrangerais.
 
Donc, j’en reviens à mes moutons, ou plutôt à ces messieurs. Donc, pour deux personnes envers qui une certaine attirance s’est mise en place (toute seule, on lui a rien demandé, cupidon j’te mettrais ta flèche ou je pense un de ces jours) et bien c’est comme pour une seule, sauf qu’on se pose deux fois plus de questions. On se pose les mêmes questions usuelles que dans le premier cas, mais en plus on se met à faire des comparaisons, et c’est là tout le drame. Néanmoins, ça laisse toujours un espoir. Et si l’un ne voulait pas de nous, pourquoi l’autre ne serait pas frais et disposé a nous faire une petite place dans sa vie ?

* Deux c’est mieux *

Et quand on arrive au stade crucial de trois. C’est entre le martyr et l’état de transe. Ou donner de la tête, quelles questions se poser, avec qui, quand. On a beau passer du temps avec lui on pense encore a l’autre, et puis même si on en a pas vu un depuis longtemps, qu’on commence a oublier peu a peu le son de sa voix, ou le charme irrésistible qu’il dégage, et bien celui-ci nous rappelle a l’ordre et envoi un petit sms tout adorable et tout touchant.
 
Si on se dit qu’il n’y a aucun espoir avec celui-ci, que ce n’est qu’un fantasme (et de taille, mais un fantasme tout de même), c’est a ce moment là qu’il se retourne en cours, vous lâche un petit sourire ravageur et vous laisse regarder quelques fractions de secondes dans le bleu de ces yeux.
Et puis, comme si on était pas assez perdue comme ça, il faut que le dernier s’invite a l’improviste chez vous, simplement pour vous souhaiter une bonne nuit étant donné qu’il s’en va pour la semaine a des kilomètres de là.

* Trois c’est trop * 



Perturbée. 
Complètement rêveuse.
Tout Simplement envoûtée. 
Sur trois charmants petits nuages.


¤ Butterfly ¤

Dimanche 18 septembre 2005 à 15:15

Une simple discussion grâce a la magie d’internet avec un très bon ami. Des paroles sympathiques qu’échangent deux personnes. Puis un silence, une demoiselle qui se pose des questions, « T’as disparu ? ». Une brève réponse « Désolé je m’étais absenté ». Puis de nouveau un silence. A quoi bon se poser des questions, les gens ne sont pas
forcement présent tout le temps lorsqu’on leur parle.

* Quatre minutes passent *

Toujours rien, mais après tout le temps passe a une vitesse hallucinante quand on est sur la toile. Tellement de choses a faire, a lire, a voir, a découvrir. Tout juste le temps
de se rendre compte d’une absence de cinq minutes.
Quand soudain, on se retourne, et on voit la personne que l’on avait de l’autre
côté de l’écran quelques minutes auparavant.

* Et là, je pense que ma tête devait être a filmer, ça aurait été mythique *


Comme quoi, du rêve a la réalité, le voyage ne dure que cinq petites minutes, avant qu’on se retrouve aux alentours de 22heures et des bananes face a une personne qui n’avait
qu’un aspect virtuel trentes secondes avant.
On appelle ça une surprise, et de taille. J’me suis retrouvée toute tremblotante à me demander si c’était le fait d’être malade qui me faisait halluciner ou si j’avais
en chair et en os cette personne en face de moi.

* Enorme, absolument Enorme *




¤ Butterfly ¤
¤ Be Surprised ¤




Samedi 17 septembre 2005 à 12:58




Pas savoir quoi dire, quoi faire, comment le dire, comment réagir.
Prendre chacun de ses gestes pour soit, croire que chacun de ceux ci est destinés a soit.
Croire simplement en soit, peut etre
croire en lui.


Cela faisait bien longtemps que ca ne m'était pas arrivé. J'ai l'impression, de reprendre gout a quelque chose, de recuperer mes sensations, de frissonner a chaques vibrations de sa voix.
Peut etre qu'il a une copine, peut etre qu'il ne pense pas a moi comme je pense a lui.
Et alors ?
Je me plais a rever, chose que j'avais perdu et que je recherchais precieusement.
C'est le principal non ?




Butterfly ..
.
Ailleurs ...





[ Shrek 2 - Accidentally in love ]

Mercredi 14 septembre 2005 à 13:38


[
Mode Philo On
]


Je précise que je vais tenter de me faire comprendre, et notez l’importance
du verbe tenter dans ce début de phrase.
Je sors de deux heures de Philo, je suis navrée, mais j’ai besoin d’évacuer.


Qu’est ce qu’une évidence ?
Peut on faire de l’évidence un critère de vérité ?

On pourrait penser que l’évidence est une idée acquise, hors de tout débat, qu’on ne peut pas discuter. Et pourtant, ce n’est pas si évident que ça (sans vouloir jouer sur les mots ^^)
Une évidence, s’acquiert bien souvent dès le plus jeune age, grâce au processus de socialisation. Dans ce cas là, l’évidence provient de la culture.

Mais alors, qu’elle différence faire entre une idée évidente, et un préjugé culturel ?


Après tout, pour nous ils pourraient sembler normal qu’un nouveau né soit
automatiquement intégré dans sa nouvelle famille. Et pourtant, chez les grecs, le père de famille avait droit de vie ou de mort sur le nouveau né. Aucune pitié, cet être n’existait qu’après avoir été reconnu et accepté par le père.
Une évidence, c’est quelque chose que l’on croit.

Mais alors, quelle différence faire entre quelque chose d’évident, et une croyance ?
Comment pouvoir définir ce qui est vrai ?





Autre problème, quelque chose d’évident pour quelqu’un, ne l’est pas forcement pour tous.
Il y a une certaine subjectivité dans la notion d’évidence.
Cela dépend du point de vue de chacun.
Pour que quelque chose soit vraie, il faut qu’il y ait une correspondance entre ce que l’on dit, ou ce que l’on pense, et avec la réalité. Le problème, c’est que la réalité, on ne
sait pas ce que c’est. On n’a toujours un point de vue sur la réalité, on n’est
jamais en relation avec la réalité elle-même.

Dans ce cas là, est ce que cette table est une table, ou bien
est ce que c’est l’ensemble de nos esprits qui fonctionnent de
la même façon et qui nous font voir une table ?

Concrètement, on nage dans la subjectivité, étant donné qu’on pense tout le temps, qu’on n’est jamais en rapport direct avec la réalité, nous sommes en pleine subjectivité permanente. Par conséquent, l’objectivité pure et absolue est totalement impossible. On ne voit, on ne comprend, qu’une infime partie de ce que l’on voit. Toute la vision que l’on a sur le monde n’est que partielle.

Comment pouvoir se rendre compte de l’évidence de quelque chose, si
nous nageons
en pleine subjectivité ?
Comment pouvoir distinguer la vérité de l’erreur ?


Si on se donne le droit de douter, pour se demander si telle ou telle chose est vraie, c’est qu’il y a forcement un problème et que notre idée dont nous étions convaincu n’est qu’en fait un préjugé culturel.

Mais si on ne se permet pas de douter, comment différencier le préjugé de l’évidence ?


Ca parait évident, non ?

[ Mode Philo Off ]

Bah Boudiou, ça fait du bien, j’avais tout de joli merdier qui me trottait dans la tête, et j’avais un besoin pressent d’extériorisé tout ça. Sérieusement, vous voyiez mes neurones
batifoler encore longtemps là dedans ?





Butterfly ... 
Philosophe ...

Mardi 13 septembre 2005 à 19:14


[ Lenny Kravitz - Fly Away ]

[ Les oiseaux, pour
le saut en hauteur, ils
sont vachement avantagés ]




[ ... J'aime la Philo, juste pour avoir l'opportunité
d'entendre de telles phrases ... ]


Butterfly ...
Enjoy ...

Dimanche 11 septembre 2005 à 16:34



Je viens de me rendre compte de quelque chose, que je juge assez grave, puisque c’est une partie de moi qui s’est tout bonnement envolée sans que je m’en rende compte. Pourquoi je ne prends plus le temps de rêver ? Pourquoi je ne laisse plus mon esprit divaguer librement ? Pourquoi je ne laisse plus mes douces ailes de papillon me transporter dans un autre monde, dans mon propre monde ? Pourquoi est ce que j’ai arrêter tout ça ? Inconsciemment ? Je me souviens du doux temps ou je laissais mes doigts divaguer sur le clavier, ou ce n’était pas mon esprit qui parlait, pas le coté qui réfléchi du papillon, mais le coté subconscient, le coté rêverie. Et là, mes doigts se résignent a taper des phrases, des mots, qui ont certes du sens, mais qui sont bien trop près de la réalité. Mon blog ne devient qu’un champ épars de faits réels, et de conclusions que je tire sur le monde qui m’entoure. Et les conclusions, et les rêveries que je venais raconter quand je redescendais de
mon nuage chéri ? Où sont elles parties ? Aujourd’hui je ne serais qu’un petit papillon qui court après des illusions ?
Qui recherche ses rêves ?



... Dis maman, ça se retrouve un rêve ?



Butterfly ...
... Lost ?

Vendredi 9 septembre 2005 à 18:52

Bon, juste un petit post pour parler de quelques petites nouveautés apparues aussi bien sur le site que sur ce blog.

Beaucoup l’ont sûrement remarqué, au dessus de mon avatar il suffit de cliquer sur ¤ Radio Blog ¤ pour être conduit immédiatement sur ma petite radio personnelle. Ca me permet de mettre un bon nombre de chansons en ligne, tout en restant dans la légalité puisque je ne propose pas le téléchargement
de ces chansons, simplement l’écoute.
(J’précise tout de même pour ceux qui se demanderaient).

J’vous invite donc vivement à faire un peu le tour de chansons qui m’ont marquées, qui me plaisent, et que j’aime particulièrement. C’est juste un petit bout de ce que j’apprécie, mais c’est déjà un aperçu.
 

Une petite indication, ne comptez pas sur moi pour vous expliquer comment j’ai fais, je me suis pris la tête pendant suffisamment longtemps pour que tout cela marche, je ne tiens pas a recommencer, et encore moins expliquer ça a distance.

Autre petite nouveauté, je sais pas si vous vous en êtes rendu compte mais j’ai troqué mon Mario pour une Pomme souriante. Il y a de nouveaux curseurs en ligne, confectionnée par mes soins, et que notre cher Grand Gourou a enfin mis en ligne, non sans une certaine nostalgie, certes.

Voilà, un plus large choix de curseurs, si vous en voulez des personnalisés j’pense que vous pouvez passer commande, et je les enverrais a
Dark quand il y en aura un certain nombre. N’hésitez pas, ça fait toujours plaisir de pouvoir rendre service et de faire le bonheur des gens de cette petite communauté.



[Butterfly]

Jeudi 8 septembre 2005 à 19:40


[ Kiss - I was made for loving you ]

Coup de gueule, un de plus, encore un, a croire que je vais finir en petite chieuse qui se plains tout le temps (si ce n’est pas déjà le cas).
Il y a un phénomène qui touche tout le monde, oui, oui tout le monde. On appelle ça le sentiment amoureux. Où est le coup de gueule dans tout ça me direz vous ?
Je ne sais pas si on peut véritablement appelé ça un coup de gueule, mais disons que c’est quelque chose dont je me suis rendue compte récemment et
qui me fait désormais doucement sourire.


Rentrons dans le vif du sujet, si vous le voulez bien. J’étais en train de valider des inscriptions dans l’administration de c0wb0ys. Quoi de plus normal pour une Admin ? Et j’ai lu à plusieurs reprises, que des jeunes demoiselles créait leur Blog pour le dédier dans
son intégralité à l’homme de leur vie.

* Première Gueulante, attention les yeux *

Oui, oui, l’homme de leur vie. Donc ces jeunes demoiselles aux boutons disgracieux parlent du haut de leurs 13 ans de l’homme de leur vie. Certes. 
Non mais franchement, c’est pas n’importe quoi ? A 13 ans oser vivre dans l’illusion que le garçon avec lequel on partage des moments précieux sera celui de toute une vie ? On a aucune idée de ce qu’est l’amour a cet age là, je dis pas qu’a 17 ans on a une idée plus nette de ce que c’est, bien au contraire. Je dis juste que ça m’énerve profondément de voir des demoiselles parler de l’amour de leur vie, que c’est pour toujours, qu’elle l’aime à en mourir et ainsi de suite. Toujours les mêmes jérémiades, les mêmes mots, les mêmes illusions. Et dans 3 semaines elles ne seront plus avec parce qu’il sera aller voir ailleurs, parce qu’il voudra changer, ou simplement parce que l’un des deux sera lassé.

* Attention, seconde Gueulante *

Et alors là … Pour ces demoiselles prépubères se sera la fin du monde, tout s’écroulera, oh mon Dieu, il est parti, je n’ai plus de raison de vivre. Et quatre jours après on les entendra dire : « Ouai machin il m’a regardé, finalement l’autre c’était qu’une pauvre truffe ! ».
Et ça sera reparti pour un tour.
(Notez que je tente de rester polie, malgré le fait que je me sois transformé en pelote de nerfs).
Mais mesdemoiselles, je vous en supplie, arrêtez de parler comme ça, arrêter de dire « Je t’aime » a tout va, ce sont des mots trop difficile a prononcer pour beaucoup de monde, et ça en devient un gros n’importe quoi que de les dire sans cesse. Arrêtez de parler de l’homme de votre vie. Aujourd’hui, les couples qui ont plus de 40ans de mariage font parti de la catégorie des Ovnis. Alors je vous en supplie, je vous le demande, ne serait ce simplement pour que je n’ai plus a lire de telles conneries puériles, arrêtez de considérer les gens comme des Dieux Vivants, arrêtez de crier votre amour éphémère sur tout les toits, et surtout
arrêtez d’appeler amour ce qui n’en est pas.

* Je sais pas vous, mais moi, j’me sens mieux *



Plus sérieusement, j’espère juste que ça en fera réfléchir certaines, ou certains d’ailleurs. J’aimerais juste un peu que les gens arrêtent de se ridiculiser et de croire en des choses qui ne sont que chimères et illusion.
Ah, encore une petite chose a précisé, sinon je sens que je vais me faire littéralement incendier. Si vous voulez me dire que je n’ai pas de cœur, que ce n’est que de la jalousie, et que je n’ai jamais aimé personne, et bien vous vous mettez le doigt dans l’œil. Ce n’est ni de l’envie, ni de la rancœur. J’ai vu trop de personnes penser des choses et être totalement abattues par la suite pour savoir un chouillat de quoi je parle.

" L'amour est difficile à croire, demandez à n'importe quel amoureux. " 
[Yann Martel]




 ¤ Butterfly ¤

Mercredi 7 septembre 2005 à 14:06


* Je suis extenuée *
* Pourquoi est ce que je fais des crises de lunatisme *
* J’ai encore la voix monocorde de mon prof de philo en tête *
* Comment ai-je pu résister si longtemps a l’appel du sommeil ? *
* J’aime toujours autant me faire casser par mon idolâtrée prof d’éco *
* Rusés comme des lynx nous sommes, rusés comme des lynx nous resteront *
* Et ccccccccccccccces pauvres ccccccccccccccivils, vous y pensssssssssssssssssez ? *
* Il a un regard transcendant *
* Ne reste plus qu’a oser l’approcher *
* Vivement Lyon *
* Vivement le Week End *
* Lui m’a donné un signe de vie *
* Comment décrypter ce qu’un homme laisse sous entendre ? *
* Pourquoi ce numéro 85 de la page 27 ne m’inspire rien du tout, mais alors du tout ? *
* La seule chose qui m’appelle a l’heure qu’il est, c’est mon lit *
* Et si ? J’allais, juste fermer les yeux ? *



... Votre interlocutrice c’est malencontreusement assoupie ...
... sur le clavier de son ordinateur, toutes nos ...
... excuses pour ce dérangement inhabituel ...
... Merci de votre compréhension ...
... Enjoy ...



Lundi 5 septembre 2005 à 17:29


[ Gary Jules - Mad World ]


Ce n’est un secret pour personne, la rentrée est dans les esprits de chacun.
Est-ce que c’est une phase qui se termine, ou bien une nouvelle période qui commence ? Est-ce qu’il faut voir ceci comme une continuité, comme un nouveau
départ, un nouveau début vers une nouvelle année (scolaire j’entend bien !). Ou bien, est ce qu’il faut prendre cette période comme propice a la nostalgie. Plus de rendez vous entre amis, plus de cuites le soir, plus de vodka, tequila, et autres whisky coca, plus de sortie au bar, dans un bal, plus de rencontres au détour d’un chemin, plus de sourires a vivre tout ça.  
Je ne sais pas ou me placer, je ne réalise toujours pas que c’est la rentrée, j’ai encore la ferme illusion d’être en vacances, et que je vais encore en profiter pendant quelques semaines. Mais non, demain, demain c’est le grand jour, la reprise des cours. Nous allons a nouveau remplir des petites fiches avec le nom, le prénom, et notre idée d’avenir. Nous allons a nouveau revoir toutes ses têtes, qui nous sont si familières et dont on se serait pourtant bien passé
encore quelques temps. Ca y est, emploi du temps, profs, tout est près, tout ? Pas tout a fait. Nous ne sommes pas près, nous, chères têtes blondes. Comment se préparer à vivre une année scolaire ?
Comment être prêt physiquement et mentalement ?
Les vacances ont laissé nos abdos s’engluer de bières, et notre moral rester dans l’euphorie douce et légère de fous rires entre amis. Comment se mettre simplement dans l’idée que ça recommence, et pire encore, c’est la dernière fois (du moins j’ose l’espérer pour ma part). Dernière rentrée dans cet établissement. Dernière fois que mes pieds fouleront ce sol. Comment imaginer qu’au terme de cette année c’est une page de sept longues années qui se tourne ? Comment se mettre tout ça en tête.
Tant de questions, tant de comment, tant de pourquoi ? A quoi bon au fond, on fera comme toujours, comme toutes années précédentes, on laissera le temps glisser, et on se rendra compte une fois de plus que notre vie nous échappe, et que
ce temps si précieux nous glisse entre les mains.



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¤ Sur ce, Bonne Rentrée a tous ¤



... Butterfly ...
... Future Bachelière ...
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