Butterfly

Follow the butterfly.

Lundi 7 novembre 2005 à 19:40


Je vous avais déjà parlé de lui ici, et également ici.
Mon cher prof de français, que j’ai eu la joie d’avoir durant deux années de ma vie.
Je ne pensais pas en arriver là, mais cette année il me manque.

Ce personnage un peu spécial, incompris de ces congénères du corps professoral, critiqué par les parents d’élèves jugeant que le travail qu’il donne est insuffisant, mais néanmoins adulé par la plupart de ces élèves. Bon, d’accord, on faisait pas grand-chose en cours, bon d’accord il sortait toujours des blagues, parfois a la limite du raisonnable, bon d’accord, il montait les moyennes et ne mettait jamais de note en dessous de 10, bon d’accord, et alors ?

Ces cours étaient simplement excellents, il suffisait de les lire, si tant est qu’on soit un tantinet intéressé par le fait de gagner des points pour le bac. Le fait est que, je n’en ai pas fait beaucoup pendant ces deux années, je l’avoue. Mais je ne regrette en aucun cas de l’avoir eu, j’ai des souvenirs d’une discussion avec lui, à la fin d’un cours, qui m’avait fait terriblement réfléchir. Je ne le remercierais jamais assez pour m’avoir aider, a sa façon, et m’avoir donné son avis sur une période délicate de mon existence. Juste une personne que je suis ravie de connaître, juste un prof auquel je suis particulièrement attachée (si, si c’est possible !), juste un prof qui m’a fait obtenir un 15 de moyenne pour le bac de français …

 ¤ Qui a dit que le pédagogisme ne fonctionnait pas ? ¤

Bref, après ce léger racontage de vie, j’entre dans le vif du sujet, ces blagues, j’ai pendant une année écrit toutes les conneries qu’il a pu sortir, tout ces mots, jeu de mots, et autres blagues de mauvais goûts

¤ Pourquoi ne pas vous en faire quelque peu profiter ? ¤ 
« Rimbaud est notre père a tous. »
« J’ouvre ta tête, et je vois ce qu’il y a dedans »
« Mais vous êtes de nature très gaie ma chère, heureux sera votre mari ! 
« Mais vous êtes bénis par les Dieux ! »
« C’est mieux de se marier tard, comme ça, ça dure moins longtemps ! »
« Montaigne courait après les donzelles et chopa une maladie chaude par la suite,
vous voyez ce que je veux dire… »

« Pendant la révolution, on a coupé la tête aux Français,
c’est pour ça qu’aujourd’hui ils ont du mal à relever le niveau… »

« Vous vous êtes coincé je ne sais quoi, je ne sais où ! »
« Pour combler certains trous… de mémoire bien évidemment »
« Une pomme est un lieu idéal de sérénité »
« Vous y allez les doigts dans le nez, si vous avez 5 narines mettez y toute la main »
« Vous allez vous faire bananer pour ça ! »
« La barbe est un symbole de sagesse, depuis que les enseignants ont coupé
leur barbes, ils sont devenus idiots »
« Dans l’amour, il faut une notion d’admiration. Vous ne pouvez pas aimer quelqu’un qui ressemble à une larve, un ver de terre, un chien ! A moins que vous ne soyez maso ! »
« On me dit souvent que je suis à l’ouest, je préfère le Far Ouest ! … Je sais, j’suis
lourd, mais je suis payé pour ça ! »
« Dom Juan, dès qu’il y a une odeur, il a la truffe en l’air ! »
« La paysanne, celle qui a le cul terreux… »

« Condescendance … C’est pour le scrabble, vous écrabouillez tout !
Pierre : surtout qu’on peut faire que 7 lettres … »

« Le bac est un cimetière sans nom »
« L’alexandrin, donc, si Cloclo était là, il aurait dit Alexandrie, Alexandra … »
« Hum … Excusez moi, j’ai un blanc … Pourtant j’ai pas bu de rouge ! »
« Retenez le, c’est toute une vie qui va s’inscrire la dedans … aussi utile qu’une serpillière ! »
« Un cailloux c’est important, une herbe aussi, essaye de faire un
caillou avec une herbe tu verras ! » 
« J’ai trop fumé ce week-end, j’ai le cerveau en marmelade… »
« Rimbaud ... L’homme aux semelles de vent … C’est mieux que les Nike Air… »

« J’espère finir l’année, vous m’enterrer après… »

« Courage, la vie est courte … »
« * Quelqu’un se mouche * Ce sont les huîtres avant noël… La mer glaviote, finalement, les huîtres ne sont que les crachats de la mer, empaquetées dans une coquille nacrée ! »
« Mr Conand invoque l’immobilité cérébrale »
« Mademoiselle je ne suis pas méchant, bête mais pas méchant ! »
« Mon ordinateur à Windows 98 … Il est obsolète … Comme moi, il a des varices ! »
« Dans les copies de 1S2, j’ai trouvé « compte » au lieu de « comte » …
J’ai mis : le comte n’est pas bon ! »
« C’est pour ça qu’a force de trop faire le con, y’en a qui deviennent cons… »

« Ne copiez qu’avec votre voisin collatéral, merci ! »

« En littérature, tout est dans le regard … Je sais, ça ne veut absolument rien dire !»
« Houlà, un lâché de papier … redoutable ! »
« Que d’inventions ne mis je point en usage pour la tirer… Je n’ose penser monsieur Conand que vous pensez a la même chose que moi … Sinon vous seriez tombez bien bas … »
« * Atchoum * Ah c’est le pollen, y’en a qui ont les yeux comme des crapauds … J’ai une élève de seconde … Elephant woman ! On dirait qu’elle s’est pris deux lunes dans les yeux … Enfin … Ne lui dites pas … »

« J’ai le cerveau lent … Je sais ça vole pas haut … »



En espérant que tout ceci vous fasse décrocher les mêmes sourires niais qui
peuvent se lire actuellement sur mon visage !


Butterfly.

Vendredi 4 novembre 2005 à 19:57

 " On the route encore ... On the route encore ... " 

J'peux la chanter ? Non ...
J'peux la siffler ? Non ...
J'peux la mmmer ? ...

 Bon ... D'accord ...



[ Metallica - On the Road Again ]

Dimanche 30 octobre 2005 à 14:09

... Ou boudiou ...
* Fini la Butterfly sage et amadouée qui s’écoute du Zazie *


[ Garbage - Push It ] 

Avant de péter totalement une durite, et de balancer ce Pc par la fenêtre je vais faire un post.
Si une personne ose encore me demander après, je l’enverrais bouler et d’une
façon peu courtoise, je dois bien le reconnaître



¤ Comment est ce que je mets une musique sur mon blog ¤ 
... Respire Kichette, et explique calmement ce dont il retourne ...

Vous avez sûrement remarqué que lorsque vous écrivez un article, un nouveau bouton est présent a coté de l’icône insérer une photo. Il y’a le même logo que celui de Windows Media Player. Donc, vous n’avez qu’à cliquer dessus, et
insérer l’url de la chanson que vous
recherchez.


Le seul soucis de cette méthode c’est que les chansons se lancent automatiquement, et j’avoue que quand on surf, qu’on a de la musique en arrière plan, on veut pas
forcement écouter la musique de tel ou tel blog.

Ma solution est une chouille plus complexe, mais elle a l’avantage de
ne pas démarrer
automatiquement la chanson.



Quand vous rédigez un article, vous avez sûrement remarqué qu’au bas de la page il y a un menu déroulant avec « Affichez la mise en forme réelle de l’article », et bien vous cliquez la dessus, et vous mettez « Affichez le code source html de l’article ». Alors, pas de panique, ça parait complexe mais c’est vraiment tout bête, je vous assure. Il vous suffit de copier la phrase, (si on peut appeler ça une phrase, certes …) si dessous, tout en remplacant « url de votre mp3 » par votre url en question.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------
<embed src="url de votre mp3" width="142" height="45" autostart="false" controls="al"l loop="-1" type="audio-mpeg"></embed>
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------

Et le tour est joué, enfin pas tout a fait …

* Oui, oui, je sais, vous savez pas non plus comment on trouve un url, et si c’est pour avoir des question du genre « t’héberges ou tes chansons » je vais faire d’une pierre deux coups et vous expliquez tout ça … *



Deux solutions s’offrent a vous :

Soit, vous créer un espace web, autrement dit un ftp, et vous hébergez quelques mp3 sachant que c’est totalement illégal et que je n’ai aucune envie de vous expliquez comment faire. L’avantage est que vous mettez les chansons que vous désirez, et vous êtes certains de trouver votre bonheur. Pour ceux que ça intéresse, le site Lycos offre 50mo d’espace, a vous de les utiliser a bon escient.  

Soit vous vagabonder sur la toile à la recherche des fichiers mp3 que vous désirez mettre en écoute sur votre blog. Je vous conseille www.altavista.com rubrique mp3, qui vous permettra de trouver quelques url,bien sur ne vous
attendez pas à trouver ce que vous cherchez.


Je précise que pour que l’url soit valide il faut absolument qu’il
finisse par .mp3, .mid, .wav ou autre petites choses du même genre. Si vous mettez l’url d’une page web vous imaginez bien que vous aurez pas le son en question, en cas de problème, je peux vous venir en aide, je mords pas, et je pense pas vous envoyez bouler ...
(en fait, tout dépendra de mon humeur … Rooo, j’plaisante …)

Vous pouvez également vous rendre sur le site des artistes, bien souvent
certaines chansons sont téléchargeables librement
.



Butterfly
Est ce clair ? ...

Vendredi 28 octobre 2005 à 19:02




Pas besoin de grandes déclarations,
pas besoin de je t'aime a tout va, pas besoin de pensées utopiques ...
... Une chanson suffit ...



[ Zazie - Un point c'est toi ]

Butterfly ...

Dimanche 23 octobre 2005 à 16:14


[ Patrick Hernandez - Born to Be Alive ]


Je me suis toujours plainte, plus jeune, d’habiter a la campagne, dans une petite ville de 9000 habitants, et d’être entourée de plein de petits bleds perdus, sans aucune attraction apparente. En grandissant, je reviens largement sur ma décision
( Y’a que les con squi ne changent jamais d’avis, d’abord ! ).

Pourquoi ce changement d’opinion ? Simplement parce que j’ai découvert le mot magique qu’on appelle « bal ». Et là, j’vous vois venir, mais de quoi elle nous cause, un bal c’était pour nos grands parents, c’est totalement dépassé, y’a que
des vieux pochtrons qui vont finir de
tuer leur foie dans ce genre de truc.
Et bien, stop, je vous arrête,
vous faites tous erreur !
( Foi de Kichette !)

J’avais un ami parisien, qui était descendu un été il y a deux ans, il était ressorti enchanté, et complètement accro à ce genre d’événements. Pourquoi ? Parce qu’il y a dans un bal quelque chose de particulier, une atmosphère différente, qu’on ne retrouve nulle part ailleurs.

Il y’a une sorte de magie qui
émane de tout ça, il y a une ambiance bon enfant, tout le monde se parle, comme si tout le monde se connaissait, et tout le monde rie, s’amuse, tout le monde profite au maximum de la soirée.

Mais a ce moment là, pourquoi ne pas aller en boite me direz vous ? Parce qu’en boite on ne s’entend pas, obliger d’hurler et de cracher ses poumons pour se faire comprendre, parce qu’en boite la plupart des filles allument a tout bout de champ tout les mecs qu’elles croisent, et c’est même parfois inconscient, parce qu’en boite, les mecs n’y vont que pour se trouver une demoiselle en fin de soirée, et si possible, la raccompagner. Non, décidément, les boites, je m’y fais pas, oui bien sur que j’y vais, comme tout le monde, mais ce n’est pas mon élément.

Y’a pas ce petit truc qui fait tout le charme du bal, une masse de gens venu se retrouver dans le même but : ressortir avec un sourire jusqu’aux oreilles et moultes souvenirs en tête.
Y’a pas ces boissons dégueulasses telles que la bière et le Cerdon, complètement imbuvables, mais qu’on boit jusqu'à ce que notre foie nous ramène brusquement a la réalité.
Y’a pas tout ces gens qui vous sourient, y’a pas la possibilité de sortir et de rentrer, aller poser une gerbe dans un coin, se resservir un verre, et repartir de plus belle, y’a pas la possibilité de pousser tout le monde, et de courir comme une dingue sauter dans les bras de quelqu’un, y’a pas tout ça en boite … Et puis, les bals a thème, y’a que ça de vrai …
Soirée années 80’s, si c’est pas l’extase, franchement !?

Je sais pas, c’est une sorte de petite communauté qui se réunit, régulièrement, et qui profite de sa jeunesse de débauche. J’adore, et ceux qui doute encore de tout ça n’ont qu’a aller y faire un tour, j’ai vu peu de personne ressortir en tirant la gueule soit disant parce que ça serait complètement a chier …



C’est juste … Magique

Butterfly ... 

Mercredi 19 octobre 2005 à 14:06


Ce n'est pas une question de moral, au contraire tout est plus ou moins au beau fixe pour celui ci ...
C'est une question de force ... Il y a des moments ou le corps ne suit plus, ou le corps ne peut plus suivre, ou même 24 heures de sommeil n'arrangeraient pas cet état de fatigue poussée ...
Il y a des moments ou rien que le fait de se maintenir debout devient un calvaire, ou tenter de garder la tête droite demande un effort presque inhumain ... Je n'ai plus la force de bouger, et pourtant je dois continuer, travailler, sourire, paraitre un minimum dynamique, je dois continuer, jusqu'a quand ? Je me sens au bout, au bout de mes reservoirs d'energie, après, il y a quoi ? ... A quoi je dois m'attendre ... Après
...




[ Thomas Fersen - Deux pieds ]

Butterfly ...
So tired ...

Dimanche 16 octobre 2005 à 11:52


Tout le monde s’y est mis, pourquoi pas moi ? C’est là qu’on choppe un chapeau traînant vaguement dans le garage, qu’on fouille dans de vieux cartons pour retrouver une sorte de pistolet en plastique balançant des fléchettes a ventouses, et qu’on s’empare sauvagement de son appareil photo numérique 

J’aime pas trop le principe de départ, balancer des photos de sa gueule pour être notée … Mais j’avoue que là, étant donné qu’on a l’air totalement ridicule, le principe m’enchante. Alors cher c0wb0ys & Girls, je vous invite à noter nos chères bouilles d’anges ^^ !


[ Lonesome cowboy ]


 ¤ Butterfly ¤

Mardi 11 octobre 2005 à 19:08


[ Zazie - Si j'étais Moi ]


On va faire comme j'ai toujours fait quand ça n'allait pas. On va simplement écrire. Il y a des moments où le corps ne suit plus, ou le corps ne peut plus suivre, ou le corps a abandonné l'idée qu'il nous appartienne. On va faire comme si tout allait bien, c'est pas vrai, ça fait rien. Je suis malade, j'ai des bleus sur toute la surface de mon corps, j'ai un mal de gorge intense qui m'empêche d'avaler correctement quoique ce soit, j'ai les yeux fatigués, un état grippal avancé, et un rhume qui me fait bougrement chier. J'ai un cerveau en miette, complètement composté, retourné, ne sachant plus ou aller et dans quelle direction se diriger. C'est ça être perdu ? C'est ça ne plus savoir ou donner de la tête ? C'est ça grandir ? Pourquoi est ce que je grandis, je ne veux pas, je ne veux plus. Avoir 18 ans ne m'intéresse plus, avoir mon indépendance ne m'attire plus, me plonger dans ses yeux ne me fait plus frissonner. Comme un rejet de tout, un rejet de son corps, un rejet de ses sentiments, un rejet de son cerveau, un rejet de soi.

Je ne veux pas, je rejette les sentiments que j'ai pour lui, je rejette le fait d'être avec lui, comme je l'ai toujours fait. Je crois qu'aucun n'a réchappé à la règle. Pourquoi se dire a chaque fois la même chose : et si je le quittais, et si je m'en allais, et si j'évitais de souffrir, et si je restais simplement libre et célibataire, et si ? J'ai peur d'être avec lui, et si il n'acceptait pas, et si il ne comprenait pas, et si je ne voulais pas, et si je voulais l'autre, et si et si ... Pourquoi toujours ces questions, pourquoi toujours ces prises de tête ? Pourquoi un tel refus, pourquoi un tel rejet ? Parce que j'ai peur, peur d'avancer, peur de reculer, peur de stagner ... Mais si je ne fais rien de tout ça, si je ne bouge pas, je ne vais nul part, et aller nul part ne mène a rien. A quoi bon vivre dans de telles circonstances, a quoi bon réfléchir, a quoi bon s'interroger ? A quoi bon se supporter ? ... A quoi bon "aimer" ? ...


Je suis perdue, noyée, nageant dans le brouillard, épais comme il l'a rarement été ... Je ne sais rien de lui, j'ai peur, cette peur me fera-t-elle faire des choix que je regretterais, cette peur me fera-t-elle me noyer dans l'incertitude, ou bien cette peur me fera avancer, refuser d'avoir peur, oser ...

Parfois, il faut oser ... Parfois c'est quand ?



Butterfly ...


 

Samedi 8 octobre 2005 à 13:34


[ Alice au pays des merveilles - Je suis en r'tard ]

Je suis en r'tard,
J'ai un rendez-vous quelque part.
Je n'ai pas l' temps de dire au revoir,
Je suis en r'tard, en r'tard, en r'tard.
Je suis sorti beaucoup trop tard du lit
Et au moment où je partais,
Le téléphone sonnait.
Depuis je suis pressé ! Pressé !
Harassé ! Bouleversé !
Je cours après le temps perdu
Aussi je n'en puis plus, plus, plus !

Je suis en r'tard,
Il est déjà moins l' quart.
Je n'ai pas le temps de dire au revoir,
Je suis en r'tard, en r'tard.
 La plus affreuse des tortures
C'est bien de regarder l'heure,
Quand on aime à marcher à son allure
Et déguster son bonheur.
Au diable toutes les montres
Et maudit le jour où l'inventeur vint au monde.



Je suis en r'tard,
J'ai un rendez-vous quelque part.
Je n'ai pas l' temps de dire au revoir,
Je suis en r'tard, en r'tard, en r'tard.
Je suis sorti beaucoup trop tard du lit
Et au moment où je partais,
Le téléphone sonnait.
Depuis je suis pressé ! Pressé !
Harassé ! Bouleversé !
Je cours après le temps perdu
Aussi je n'en puis plus, plus, plus !

Je suis en r'tard,
Il est déjà moins le quart.
Je n'ai pas l' temps de dire au revoir,
Je suis en r'tard, je suis en r'tard.
Je n'ai pas l' temps de dire au revoir.
Je n'ai pas l' temps de dire au revoir,
Je suis en r'tard, je suis en r'tard.
Je suis en r'tard,
Je n'ai pas le temps de dire au revoir ...


Butterfly ...
No Time ...

Mercredi 5 octobre 2005 à 13:21




Est ce possible de ranger une partie de sa vie selon différentes catégories ? Je me le demande. A plusieurs reprises je suis allée dans l'onglet catégories, me demandant si oui ou non j'allais faire comme tout le monde, classer ses articles dans des cases, les réunir par thèmes similaires. Mais comment voulez vous que je fasse ceci avec mon blog ? Chaque article est une catégorie à part entière. Chaque article est différent. Chaque article est un petit bout de ma vie qu'on ne peut séparer du suivant. Est ce qu'on peut ranger sa vie, ses journées, ses pensées dans des petits tiroirs et les ressortirent selon l'humeur. Est ce qu'on peut ranger son cerveau comme on rangerait une armoire ? Je ne sais pas, j'essaye mais je n'y arrive pas. Je sais bien que je n'y suis pas obligée, mais je reconnais que c'est nettement plus pratique et que ça structure quelque peu cet amas flou de pensées. Mais je ne peux pas, je pense que mon subconscient ne veut pas. Pourquoi ? Parce que ça serait classer ma vie, enlever le mot bordélique de mon cerveau, retirer à mes pensées le soupçon d'inconnu qui peut arriver du jour au lendemain. J'exagère ? Peut être pas tant que ça, du moins c'est ma vision de la chose. Je ne veux pas ranger ma vie, je ne veux pas structurer mes idées, parce que ce n'est que dans le bordel incompréhensible que j'arrive à écrire, à réfléchir et peut être même à m'épanouir. Comment voulez vous que je range mon blog alors que je suis incapable de faire du tri dans ma vie ?


[ Norah Jones - Don't know why ]


Butterfly.

Lundi 3 octobre 2005 à 18:10


   

* Mode lunatique On *

Lunatique, définition pour ceux qui l’ignorerait : Personne subissant des changements d’humeur intempestifs. Concrètement, je deviens complètement euphorique par moment, et je peux repasser à la « dépression » en quelques secondes. Bon dépressive, dépressive c’est vite dit, j’suis pas non plus au bord du suicide comme 95% des pseudos gotiques révolutionnaires de ce site. Oui je suis cassante, oui je sais.

Donc, j’en reviens aux faits, dont tout le monde s’en fou, mais peu importe. J’ai un élan de folie, une motivation d’enfer, sans aucune raison particulière. Quelqu’un a une quelconque explication ? Quelqu’un peut me dire pourquoi en fin de week end je suis toujours dans une grosse phase de déprime, et le lundi soir je regorge d’énergie.

Viens alors le moment de l’analyse (Boudiou, j’suis pas en éco pour rien ^^).
Donc, si je déprime le dimanche soir parce que c’est le retour des cours, une nouvelle semaine qui commence, pouvez vous m’expliquer pourquoi je suis dans une forme olympique alors que les cours ont repris ?

* Mode Poétique On *

Je ne me suis plus, et je n’ai plus envie de me suivre,
juste envie de rire, de sourire, de sauter sur tout le monde, de profiter
au maximum de cette douce jeunesse qui s’évapore !

* Mode Poétique Off *

N’empêche que ce genre de réactions peut, peut être, en énerver quelques uns, on ne sait pas comment me prendre (en tout bien tout honneur, siouplait ;-) !), on ne sait pas de quels cotés je suis tournée. Mais dites moi quelle quiche cause ? La quiche qui va vous renvoyer une sale réflexion dans la gueule, ou bien celle qui va gentiment vous caresser dans le sens du poil (Toujours en tout bien tout honneur, boudiou, bande de petits pervers !).

La Question est de savoir pourquoi 
Pourquoi, mais pourquoi suis-je donc comme ca ?

Oh, et puis merde !

* Mode lunatique Off *

        


Butterfly ...
Affamée ...

Samedi 1er octobre 2005 à 11:30



[ Bernard Hermann - Twisted Nerve ]

Deux yeux, vous regardant fixement, avec un air changeant selon l'humeur.
Un simple regard, envoûtant, pénétrant, effrayant et moultes autres adjectifs en -ant.
N'est ce pas une meilleure façon que de parler ? N'est ce pas une meilleure façon de transmettre une émotion ? Un simple regard peut en dire tant, le problème majeur vient du fait qu'il faut savoir le décrypter. Tellement de choses inavouées transitent
par le regard, tellement de choses qui peuvent aller de la tendresse à la haine,
de l'amour à la déception. On dit souvent que c'est le miroir de l'âme, j'y vois plus
comme une sorte de fenêtre sur nos pensées les plus profondes, des pensées qu'on ne peut cacher, car l'avantage du regard, c'est que ça ne se contrôle pas.
Avantage ou désavantage, tout dépend de quel point de vue on se place.
Celui qui veut en savoir plus pourra tenter de lire aisément dans le regard de l’autre, mais celui qui veut cacher son émotion ne pourra pas la conserver
très longtemps enfouie en lui. Mais pourquoi ? Pourquoi donc n’y a-t-il pas de
dictionnaire, de lexique du regard, comme interpréter telle ou telle
petite étincelle, j’ai beau le regarder, j’ai beau me plonger dans le bleu de
ses yeux, j’ai l’impression qu’il peut lire en moi dans un livre ouvert et que pour
ma part je cherche en vain a comprendre ce que veulent me transmettre ce tendre regard.
C’est splendide un regard, c’est plein de mystère, plein de magie, mais ça engendre
beaucoup trop de question, ça engendre beaucoup trop d’émotion.

... S’il vous plait, charmants yeux bleus,
murmurer moi a l’oreille ce que pense votre heureux porteur …


Butterfly ...
Envoutée
?

Mercredi 28 septembre 2005 à 14:07





[ Fool's Garden - Lemon Tree ]


Au gré de mes divaguations sur la toile, je ne sais plus ou, je ne sais plus quand mais j’étais tombée sur un site demandant ceci :


1.
Ouvrez un nouveau document Word
2. Tapez le texte suivant : =rand(1,1)
3. Appuyez sur "Entrée"


Et j’avoue que le résultat est plutot illarant, si quelqu’un veut bien éclairer ma lumière et me dire a quoi ceci peut bien servir, j’en serais ravie.
 




      Butterfly 
          Perplexe ?

Lundi 26 septembre 2005 à 18:40


[ Dialogue d'Amélie Poulain ]

" Qu’écrire ? Que faire ? Comment réagir ? Comment ça se passe autour ? Comment c’est la vie en dehors d’ici ? Qui de nous partira le premier ? Tu crois que je me marierais ? Tu crois que la vie c’est comme ça ? Tu crois que j’arrêterais de voir défiler les minutes ? Tu crois qu’il reviendra ? Comment ? Pourquoi ? A quoi bon ? Est-ce que je vis la tout de suite ?
Qu’est ce que j’aimerais faire ? Plus tard ? Quand ? Comment ? Ou es tu ?
Pourquoi tu n’es pas là ? Et toi, tu en penses quoi ? Comment ça ?
Est-ce que je vais mourir un jour ? Est-ce qu’une journée de ma vie se passera sans sourire ? Est-ce que je vais finir comme lui ? Comme eux ? Comme toi ? Qui a parlé de finir ? Comment ? Dans quelles circonstances ? Tu ne veux pas aller ailleurs ? Changer d’air ? Voir du monde ? Tu ne veux pas arrêter de taper ? Arrêter ? Tu ne connais plus ce sens ? S’il te plait, donne moi des réponses ? Comment ça ? Tu ne veux pas ? Mais explique moi ? A quoi ça sert ? Quel intérêt ? Attendre, a quoi bon ? Rêver a quoi bon ? Qu’est ce qu’on fait maintenant ?
Comment en est on arrivé là ? Ne sens tu pas comme j’ai besoin de toi ? de lui ? Pourquoi pas ?
Pourquoi je ne me réveille pas ? Pourquoi je garde les yeux fermés ? Pourquoi je ne vois jamais rien ? Pourquoi je souris même quand ça ne va pas ? Pourquoi j’ai envie de lui murmurer des choses ? Pourquoi ne pas hurler ? Comment c’est là haut ? Et là bas ?
Pourquoi ne pas y aller ? Pourquoi pas ? Ca fait quoi de changer ? Quel est le sens de ce mot ? Je ne comprends pas ? Est-ce que tu cherches à comprendre ? A quoi ça sert tout ça ? A quoi ça rime tout ce que j’entends ? Est-ce que ça le fera revenir ?
Comment ? Pourrais je y arriver ? Pourrais je croire en moi ? Juste une fois ? Juste une minute ? A-t-il la peau douce ? Je ne sais plus ? Je devrais savoir ? J’en doute ?
Mais a qui je parle ? A toi ? A lui ? A moi ? A quoi ça sert tout ça ? Est-ce que le temps s’arrête quand on dort ? Est-ce qu’on ne se rend pas compte de choses qui se passent sous notre nez ? Est-ce qu’on peut être aveugle a ce point ? Tu ne m’entends pas ?
Mais pourquoi tu ne veux pas m’écouter ? Pourquoi tu as peur de moi ? Pourquoi tu as si peur de toi ? Tu n’es pas un monstre ? Tu n’en as pas l’air ? Alors pourquoi ? Pourquoi se poser des questions ? A quoi ça peut bien servir de parler ? Pourquoi ne pas se regarder ? Tu veux des enfants ? Tu veux vivre encore comme ça ? Tu m’aimes ? Demande moi si je t’aime ? Tu penses que je ne te répondrais pas ? Qu’est ce que tu en sais ?
Tu ne sais même pas qui tu es ? Tu ne sais même pas où tu vas ? Tu ne sais même pas a quoi tu sers ? A quoi bon ? Comment ? Je ne comprends plus ? Où suis-je ? Où sommes nous ? Pourquoi es tu là sans l’être réellement ? Dis moi ? S’il te plait ? Tu ne veux pas me répondre ? C’est quoi l’amour ? On va ou quand on meurt ? On sert a quoi ici ?
A l’instant présent ? Rien ça existe ? Quel est le sens de ce mot ? Et moi j’existe ?
Qu’est ce qui me le prouve ? Je rêve ? Je suis dans ton rêve ? Dis moi où je suis ? Par pitié répond moi ? Comment vas-tu ? Je suis perdue ? Je suis ici ? Ou la bas ?
Tu n’entends rien ? M’as-tu déjà écouté ? C’est bien ? C’était mieux ? On s’en va ?
S’il te plait vient avec moi ? Que veux tu me dire ? S’il te plait parle moi ? Pourquoi doit on se dire adieu ? Pourquoi pas a bientôt ? Pourquoi si tôt ? Tu penses que je pourrais ? Tu penses que tu y arriveras ? Tu ne crois pas que ne plus penser serait mieux ?
Ou es tu ? Mais ou vas-tu ? Arrêter ? Est-ce possible ? Si seulement … "




Butterfly ...
Questionnement ?

Dimanche 25 septembre 2005 à 19:13

Je descend et tu me cours après comme dans
les vieux films kitchs en noir et blanc, ou bien je descend et tu t'en vas comme
dans les films dramatiques ou tout le monde pleure a la fin ?

... Je descend ...




... Et il est parti ...

Jeudi 22 septembre 2005 à 18:25



Petite entracte, pensée a Geluck,
dessinateur de génie que je ne me lasse pas de lire.
" Je suis a la recherche de l'homme parfait, pouriez vous m'aider a le retrouver ? "

Butterfly ...
So Tired ...

Mardi 20 septembre 2005 à 19:59

Un c'est bien,
Deux c'est mieux,
Trois c'est trop.



J'ai remis un peu la chose à ma sauce.
Penser a quelqu’un c’est dur, ça fait mal, on se pose un bon demi milliard de questions. Qu’est ce qu’il peut bien se passer dans la tête de cet individu de sexe opposé ? Qu’est ce qu’il a l’intention de faire a mon petit cœur meurtri ? Comment me voit il ? De qu
elle façon pense t il a moi ? Que cache son terrible et redoutable regard bleu océan ?
Bref, vous nous changerez pas, nous les filles, ont cogite comme ça. C’est dans la logique des choses que de passer par toutes ses interrogations. Amies ? Ennemies ? Parfois ces questions permettent un véritables questionnement (c’est le principe) et
une belle remise en question (D’où le nom).
Par contre, ces mêmes interrogations enlèvent bien souvent toute spontanéité.
On réfléchi trop, a comment y aller, comment réagir, comment le
regarder, si le sourire il est pas un chouillat trop crispé ?

* Un c’est bien *

Penser a deux personnes, ça devient un peu plus complexe. Lequel serait le mieux. Lui a ceci que l’autre n’a pas. Lui a cela, c’est bien, mais l’autre n’est pas comme ça, en revanche il a ceci. Oui j’exagère, oui on dirait que je considère ces messieurs comme des morceaux de viandes fraîches (ce qu’ils sont pour nos petits estomacs affamés). Mais je tiens à préciser que je traite de tout ça avec humour, et qu’il ne faut pas prendre tout ce que j’dis comme la parole divine, vous auriez plutôt tendance a y prendre au 27ème degré que ça m’arrangerais.
 
Donc, j’en reviens à mes moutons, ou plutôt à ces messieurs. Donc, pour deux personnes envers qui une certaine attirance s’est mise en place (toute seule, on lui a rien demandé, cupidon j’te mettrais ta flèche ou je pense un de ces jours) et bien c’est comme pour une seule, sauf qu’on se pose deux fois plus de questions. On se pose les mêmes questions usuelles que dans le premier cas, mais en plus on se met à faire des comparaisons, et c’est là tout le drame. Néanmoins, ça laisse toujours un espoir. Et si l’un ne voulait pas de nous, pourquoi l’autre ne serait pas frais et disposé a nous faire une petite place dans sa vie ?

* Deux c’est mieux *

Et quand on arrive au stade crucial de trois. C’est entre le martyr et l’état de transe. Ou donner de la tête, quelles questions se poser, avec qui, quand. On a beau passer du temps avec lui on pense encore a l’autre, et puis même si on en a pas vu un depuis longtemps, qu’on commence a oublier peu a peu le son de sa voix, ou le charme irrésistible qu’il dégage, et bien celui-ci nous rappelle a l’ordre et envoi un petit sms tout adorable et tout touchant.
 
Si on se dit qu’il n’y a aucun espoir avec celui-ci, que ce n’est qu’un fantasme (et de taille, mais un fantasme tout de même), c’est a ce moment là qu’il se retourne en cours, vous lâche un petit sourire ravageur et vous laisse regarder quelques fractions de secondes dans le bleu de ces yeux.
Et puis, comme si on était pas assez perdue comme ça, il faut que le dernier s’invite a l’improviste chez vous, simplement pour vous souhaiter une bonne nuit étant donné qu’il s’en va pour la semaine a des kilomètres de là.

* Trois c’est trop * 



Perturbée. 
Complètement rêveuse.
Tout Simplement envoûtée. 
Sur trois charmants petits nuages.


¤ Butterfly ¤

Dimanche 18 septembre 2005 à 15:15

Une simple discussion grâce a la magie d’internet avec un très bon ami. Des paroles sympathiques qu’échangent deux personnes. Puis un silence, une demoiselle qui se pose des questions, « T’as disparu ? ». Une brève réponse « Désolé je m’étais absenté ». Puis de nouveau un silence. A quoi bon se poser des questions, les gens ne sont pas
forcement présent tout le temps lorsqu’on leur parle.

* Quatre minutes passent *

Toujours rien, mais après tout le temps passe a une vitesse hallucinante quand on est sur la toile. Tellement de choses a faire, a lire, a voir, a découvrir. Tout juste le temps
de se rendre compte d’une absence de cinq minutes.
Quand soudain, on se retourne, et on voit la personne que l’on avait de l’autre
côté de l’écran quelques minutes auparavant.

* Et là, je pense que ma tête devait être a filmer, ça aurait été mythique *


Comme quoi, du rêve a la réalité, le voyage ne dure que cinq petites minutes, avant qu’on se retrouve aux alentours de 22heures et des bananes face a une personne qui n’avait
qu’un aspect virtuel trentes secondes avant.
On appelle ça une surprise, et de taille. J’me suis retrouvée toute tremblotante à me demander si c’était le fait d’être malade qui me faisait halluciner ou si j’avais
en chair et en os cette personne en face de moi.

* Enorme, absolument Enorme *




¤ Butterfly ¤
¤ Be Surprised ¤




Samedi 17 septembre 2005 à 12:58




Pas savoir quoi dire, quoi faire, comment le dire, comment réagir.
Prendre chacun de ses gestes pour soit, croire que chacun de ceux ci est destinés a soit.
Croire simplement en soit, peut etre
croire en lui.


Cela faisait bien longtemps que ca ne m'était pas arrivé. J'ai l'impression, de reprendre gout a quelque chose, de recuperer mes sensations, de frissonner a chaques vibrations de sa voix.
Peut etre qu'il a une copine, peut etre qu'il ne pense pas a moi comme je pense a lui.
Et alors ?
Je me plais a rever, chose que j'avais perdu et que je recherchais precieusement.
C'est le principal non ?




Butterfly ..
.
Ailleurs ...





[ Shrek 2 - Accidentally in love ]

Mercredi 14 septembre 2005 à 13:38


[
Mode Philo On
]


Je précise que je vais tenter de me faire comprendre, et notez l’importance
du verbe tenter dans ce début de phrase.
Je sors de deux heures de Philo, je suis navrée, mais j’ai besoin d’évacuer.


Qu’est ce qu’une évidence ?
Peut on faire de l’évidence un critère de vérité ?

On pourrait penser que l’évidence est une idée acquise, hors de tout débat, qu’on ne peut pas discuter. Et pourtant, ce n’est pas si évident que ça (sans vouloir jouer sur les mots ^^)
Une évidence, s’acquiert bien souvent dès le plus jeune age, grâce au processus de socialisation. Dans ce cas là, l’évidence provient de la culture.

Mais alors, qu’elle différence faire entre une idée évidente, et un préjugé culturel ?


Après tout, pour nous ils pourraient sembler normal qu’un nouveau né soit
automatiquement intégré dans sa nouvelle famille. Et pourtant, chez les grecs, le père de famille avait droit de vie ou de mort sur le nouveau né. Aucune pitié, cet être n’existait qu’après avoir été reconnu et accepté par le père.
Une évidence, c’est quelque chose que l’on croit.

Mais alors, quelle différence faire entre quelque chose d’évident, et une croyance ?
Comment pouvoir définir ce qui est vrai ?





Autre problème, quelque chose d’évident pour quelqu’un, ne l’est pas forcement pour tous.
Il y a une certaine subjectivité dans la notion d’évidence.
Cela dépend du point de vue de chacun.
Pour que quelque chose soit vraie, il faut qu’il y ait une correspondance entre ce que l’on dit, ou ce que l’on pense, et avec la réalité. Le problème, c’est que la réalité, on ne
sait pas ce que c’est. On n’a toujours un point de vue sur la réalité, on n’est
jamais en relation avec la réalité elle-même.

Dans ce cas là, est ce que cette table est une table, ou bien
est ce que c’est l’ensemble de nos esprits qui fonctionnent de
la même façon et qui nous font voir une table ?

Concrètement, on nage dans la subjectivité, étant donné qu’on pense tout le temps, qu’on n’est jamais en rapport direct avec la réalité, nous sommes en pleine subjectivité permanente. Par conséquent, l’objectivité pure et absolue est totalement impossible. On ne voit, on ne comprend, qu’une infime partie de ce que l’on voit. Toute la vision que l’on a sur le monde n’est que partielle.

Comment pouvoir se rendre compte de l’évidence de quelque chose, si
nous nageons
en pleine subjectivité ?
Comment pouvoir distinguer la vérité de l’erreur ?


Si on se donne le droit de douter, pour se demander si telle ou telle chose est vraie, c’est qu’il y a forcement un problème et que notre idée dont nous étions convaincu n’est qu’en fait un préjugé culturel.

Mais si on ne se permet pas de douter, comment différencier le préjugé de l’évidence ?


Ca parait évident, non ?

[ Mode Philo Off ]

Bah Boudiou, ça fait du bien, j’avais tout de joli merdier qui me trottait dans la tête, et j’avais un besoin pressent d’extériorisé tout ça. Sérieusement, vous voyiez mes neurones
batifoler encore longtemps là dedans ?





Butterfly ... 
Philosophe ...

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