Butterfly

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Mercredi 14 septembre 2011 à 12:35

 Il est loin le temps de la petite Butterfly sombre et torturée qui blogait pour se soulager l'esprit.
Je n'écris plus car je vais bien, je vais bien depuis si longtemps que je n'en reviens pas ...


* Butterfly *

Lundi 24 janvier 2011 à 14:50

http://www.google.fr/url?source=imgres&ct=tbn&q=http://idata.over-blog.com/3/53/93/51/panorama_herbe.jpg&sa=X&ei=1II9TejULJGB5AboodGrCg&ved=0CAUQ8wc4Ag&usg=AFQjCNFBAazMTvn99uV5IHzDZN-tD_lTgg
Encore des discussions, encore des incertitudes, encore des tensions. Hier, nous avons recommencer à nous questionner sur nos exigences réciproques, tout cela pour en conclure que nous étions trop exigents.

- Les esprits valent selon ce qu'ils exigent. Je vaux ce que je veux -
[Paul Valéry]

 
-Butterfly-

Dimanche 16 janvier 2011 à 17:08

http://www.iwox.fr/wp-content/img_equilibre_confiance.jpg
Par ou re-commencer ? Peut être par un simple "bonjour". Oui, "Bonjour" à tous, "bonjour" à ceux qui me reconnaitront, "bonjour" à ceux qui ne m'ont pas oublié ...

La petite Butterfly que vous avez connu est aujourd'hui devenue un grand papillon, qui s'est envolé depuis longtemps de ses propres ailes. J'ai quitté le cocon familial depuis déjà 5 ans et me voilà installée en appartement avec un très charmant papillon mâle, avec qui j'espère pouvoir voleter encore de nombreuses années, qui nous feront sillonner une partie de notre chère et belle planète.

La petite Butterfly a bientôt fini ses études universitaires. A Bac +5, il est peut être temps de s'arrêter, et de trouver un "vrai" métier, qui me permettra de sourire un peu plus chaque jour, comme je le souhaitais déjà lorsque j'avais 15 ans, et que je suis apparue pour la première fois sur ce petit bout de toile internet. Me voilà donc projeter dans le monde du travail d'ici quelques mois. Peur et hâte se mélangent, mais j'ai appris durant toute ses années que la meilleure des choses a faire, peu importe la situation, était d'avancer et de voir comment les choses évolueront par la suite. 

La petite Butterfly n'est plus vraiment petite, mais elle n'a pas vraiment oublié cet endroit. Si de vieux amis le souhaitent, peut être que nous pourrions échanger quelques mails ... toujours virtuels, certes, mais qui n'empêchent pas l'intensité des échanges. 

La petite Butterfly a changé, mais cela ne l'empêche pas de vous décrocher un large sourire :)

¤ Butterfly ¤

Samedi 12 juin 2010 à 14:31

... Parce qu'il le faut.

Mercredi 18 mars 2009 à 23:55

- Moi -

- Ces bras me manquent - Sa présence dans le lit me manque -  Nos jeux me manquent - Ces murmures me manquent - La façon dont il avait de poser les yeux sur moi me manque - Ses sms du soir me manquent - Nos éclats de rire me manquent - Nos projets me manquent - Nos rires, nos peines, notre complicité me manquent - Son odeur me manque - Ses baisers me manquent - Ses petites manies me manquent - Ses histoires me manquent - Nos envies me manquent - Nos désirs me manquent - Sa façon d'être me manque - Son toucher me manque - Son torse me manque - Ses massages, bien que rares, me manquent - Son petit creux me manque - Son rire me manque - Son visage me manque - Sa tendresse me manque - Sa douceur me manque - Sa joie de vivre me manque - Sa façon de se faire pardonner me manque - Ses chaussettes qui trainent me manquent - Son impulsivité me manque - Son dynamisme me manque - Nos soirées Dvd me manquent - Sa chaleur me manque - Sa folie me manque - Ses raleries me manquent - Sa main me manque - Son corps me manque - Son sourire me manque - Sa générosité me manque - Son uniforme me manque - Sa sociabilité me manque - Son amour me manque - Sa dévotion me manque - Il me manque -

- Lui -

Lundi 16 mars 2009 à 1:16

http://70.img.v4.skyrock.net/700/cupidon287/pics/1903247271_1.jpg

... Pour toi, je serais allée au bout du monde ...
... Sans moi, tu es parti au bout du monde ...
... Sans toi, j'ai cru que la fin du monde était là
...

[Anais - Le premier amour ]

Mercredi 5 novembre 2008 à 19:17

http://butterfly.cowblog.fr/images/6117000500.jpg    

 

 


  Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.

 

[Pierre de Ronsard]

Vendredi 31 octobre 2008 à 22:21

http://butterfly.cowblog.fr/images/chat.jpg

Je crois avoir compris. Je sais pourquoi je me sens si faible, si inférieure, ni dérisoire.

J’ai tellement l’impression que les gens autour de moi sont mieux, dans le sens où ils font plus de choses, où ils profitent plus de chaque instants. J’ai le sentiment qu’autour de moi le monde bouge à mille à l’heure, et que je reste là, à le regarder, sans savoir quoi faire.

Je suis là, à vadrouiller sur la toile, à regarder au fil des heures ce qui se passe. Plus je vois les diverses activités des gens défilées, plus je me sens inutile et sans consistance.


Ce que j’ai compris, c’est que tout ne bouge pas aussi vite. Ce n’est qu’en faisant la somme de ce qui se passe que l’on a l’impression que tout va à mille à l’heure. Mais si l’on tient compte de chaque individu indépendamment, on se rend compte qu’au final, ils s’ennuient tout autant que vous. Est-ce que la vie de chacun est aussi palpitante qu’elle en à l’air ? Est-ce que les autres ne se font pas éperdument chier à des moments ? Est-ce que dans la petite vie de chacun il n’y a pas des « coups de bourre » et des « grands moments de solitude » ?

A quoi bon regarder la vie des autres s’écouler si c’est pour ne plus faire attention à la sienne ?

 

L’ennui me ronge, je vais ronger l’ennui ! Et toc !

 

¤ Butterfly ¤

Vendredi 31 octobre 2008 à 14:21

 

"Quand on a peur, c’est qu’on a encore quelque chose à perdre".
http://butterfly.cowblog.fr/images/LS016209.jpg
Moi j’ai peur, beaucoup, et de plus en plus ces temps ci. Peur de passer à côté de quelque chose, peur de perdre mes jeunes années, perdre de me tromper et de le regretter.

J’ai 20 ans, je suis avec un garçon adorable. J’ai connu quelques expériences avant, sans souvenirs glorieux. Je suis bien, c’est certainement le principal. Mais je suis terrifiée à l’idée de grandir, je suis terrifiée à l’idée de prendre des années, pour la simple et bonne raison que je n’en ai aucune envie. Il y a déjà des gens de mon entourage, des gens du lycée, qui ont pris la décision de se marier ou bien de faire un enfant. Dans ma tête, je ne suis pas prête et je suis très loin de l’être.
Est-ce que je ne veux pas me marier parce que je ne suis pas prête ? Ou bien est ce que je ne veux pas me marier parce que c’est avec Lui ? Est-ce que ça ne sera pas trop tard si je m’en rends compte dans plusieurs années ?

Quand on est célibataire, on fait tout pour rechercher une relation durable, quelqu’un que vous aimez et qui vous aime en retour. Cela parait si merveilleux. Mais quand vous êtes en couple, et que vous doutez pour des absurdités, vous adoreriez qu’il n’y ait pas « d’enjeu », que tout soit aussi simple qu’au lycée. Il ne me plait plus, je le quitte. A vrai dire, ils ne m’ont jamais vraiment plus, alors que celui là. Je détruirais sur place la fille qui tente un tant soit peu de poser sa main sur lui. Je suis excellemment bien dans ses bras, et je ne veux pas qu’une autre puisse en profiter.

Mais je reste terrorisée à l’idée de passer à côté de quelque chose. A quoi servent les nombreuses et multiples expériences des jeunes étudiants de 20 ans ? J’aimerais le savoir, j’aimerais savoir ce que ça apporte, j’aimerais savoir si ça vaut le coup de tout lâcher pour ça. Oh non, je suis loin de la dulcinée renfrognée qui se cache dans son château en attendant le prince charmant. Je sors (beaucoup), je bois (beaucoup), je ris (le plus souvent possible), je vois mes amis (quand ils sont disponibles), je fais des rencontres (agréables). J’ai les avantages de la vie nocturne d’étudiants, c’est certain. Mais, je ne laisse pas aller le côté nymphomane étudiant qui existe sans nul doute chez une bonne partie de ceux-ci. Est-ce une erreur ? Est-ce que ça apporte quelque chose, mise à part de se rendre compte que j’ai laissé tomber un garçon dont je suis éperdument dingue pour me rendre compte que ce n’est pas mieux ailleurs ? Qu’est ce que cela apporte de coucher avec d’autres, sachant que je suis parfaitement épanouie avec l’homme avec qui je suis ?

J’ai besoin d’avis externe. Tout de suite.
Il faut se rappeler que ce qui est important c’est aujourd’hui.



¤ Butterfly ¤

Mardi 28 octobre 2008 à 13:55

Changement de version.
On s'adapte. On remanie. On retente. On repart ?

Lundi 11 août 2008 à 0:54

Il n'y a que moi qui peut décider si je veux sourire ou non. Il n'y a que moi pour décider si oui ou non je veux me sentir mieux, si oui ou non je veux aller de l'avant et sortir de cette phase de mal-être. A quoi bon chercher la solution autour de moi ? Ce n'est ni lui, ni eux, ni même eux qui me donneront la solution. Celle-ci doit venir de moi et seulement de moi, et ça, je viens tout juste de le comprendre.
Si je décide que je vais sourire et aller bien, alors il faut qu'il en soit ainsi. Mais est ce qu'en se forçant un peu on arrive à mener à bien ce que l'on voulait ? Est ce que je suis moi même ? Est ce que je pourrais être ou faire autrement ? Est ce que j'ai vraiment envie de changer tout ça ? Dans la mesure où actuellement, je n'ai envie de rien, je ne peux pas vraiment parler "d'envie", puisque plus rien ne m'affecte. J'ai l'impression d'être une masse informe sur laquelle tout rebondit. Plus rien ne rentre, plus rien ne m'influence, plus rien ne me perturbe, et ce n'est pas franchement très agréable. Je suis insensible à tout ce qui m'approche, à tout ce qui me touche d'habitude, à tout ce qui me fait avancer. Je ne sens plus rien, je ne ressens plus rien, pour personne.
Quelle triste sensation que de ne plus en avoir. Je ne sens même pas triste, je me sens juste mal, juste avec un "petit" truc qui cloche, un je-ne-sais-quoi qui me turlupine, un petit pincement qui me dérange à chaque instant. Et putain de bordel de merde, je veux qu'il dégage !

Mardi 8 juillet 2008 à 19:47

On s'est oublié, on s'est éloigné, on a laissé le temps et la routine s'installer, on a laissé les autres empiéter sur notre territoire, on a laissé les choses faire sans se poser de questions, sans se parler, sans aborder le sujet, sans vouloir vraiment faire des efforts pour que ça s'arrange.
Arrive alors le moment où l'on a plus envie de se voir, où l'on traîne des pieds pour se rendre à un rendez-vous, où l'on se retourne sur les individus de sexe opposé et où l'on ne se manque plus.
La phase suivante est délicate, conflictuelle, difficile à vivre physiquement et mentalement. On se sépare, on se téléphone, on pleure, on hésite, on doute, on cherche du réconfort, on essaye de sourire tant bien que mal, on pèse le pour et le contre, on se demande si on ne serait pas mieux avec quelqu'un d'autre, puis on se dit que ce n'est pas possible, qu'on ne peut pas en rester là, qu'il y a autre chose à vivre, autre chose à découvrir, autre chose à faire.
Et puis sur un coup de tête, après maintes et maintes négociations, on se voit et on se serre fort dans les bras. On espère de tout cœur que tout va repartir, que tout va redevenir comme avant, mais on ne sait pas, on est terrifié, on pleure, on expulse toute cette haine et cette peur qui nous ronge.
Ne pas savoir est sans doute l'une des pire choses au monde. L'inconnu nous ronge de l'intérieur mais nous fait en même temps avancer. C'est ce même inconnu qui est en lien étroit avec l'espoir, cette bribe d'espoir qui est encore au fond de nous et qui nous dit de foncer, de ne pas réfléchir, de ne pas se retourner, d'essayer de perdre les habitudes ancrées depuis si longtemps, d'essayer de se rééquilibrer et d'avancer ensemble sur cette corde raide. On va essayer, on va voir ce que ça va donner, on va surtout y croire et ne plus réfléchir afin de vivre au jour le jour l'instant présent.

Je tiens à lui. Je souris.

Dimanche 6 juillet 2008 à 14:27



Et en plus on est le 6 juillet
3 ans
fois deux.

Je suis désolée, je fais des articles incompréhensibles,
mais ils sont là dans le but de ne pas oublier, pas dans le but de me faire comprendre.  

¤ Butterfly ¤

Dimanche 6 juillet 2008 à 13:52

Elle était si jolie… si naïve… encore si pure et immaculée, comme un joli linge de soie que l'on n'aurait encore osé porter. Elle avait dans ses yeux quelque chose de différent… quelque chose de naturel et d'une extrême sincérité. C'était beau à voir, tout simplement. Cela faisait bien longtemps que je n'avais croisé un tel regard… à en tomber à la renverse tellement ce même regard vous renvoie des choses sur vous-même et sur ce que vous êtes devenu.

Elle avait de la bonté, de la générosité, une âme naturellement bonne. Quand je parle d'âme, je ne traite pas de tout ce qu'il est religieux, mais plutôt de quelque chose de plus profond, de plus spirituel. Il y a cette chose en nous… il y a cette chose en elle qui est belle… qui déborde à travers ce regard émeraude, il y a cette chose merveilleuse que j'ai croisé et que j'espère ne pas trop perdre de vue.

Qu'elle reste telle qu'elle est, fidèle à elle-même, et ce sera un geste admirable.


¤ Butterfly ¤

Lundi 26 mai 2008 à 23:42

Tourne la page, tourne les mots, tourne ma tête.

Maison, agréable, chat, parent, ordinateur, repos, jardin, train, voiture, peluches, ragots, festival.
Partiel, manque de sommeil, fatigue, révisions, dossier, ordinateur, fac, tramway, bruit, agitation, stress, courses, clés, ménage, professeur, sociologie, cours, poussière, lui, exténuée, bâillement.
Sortie, alcool, concert, amis, dormir, manger, se reposer, chéri, chat, fête, télévision, couette, internet, téléphone, métro, photos, anniversaire, lunettes, douche, email, copain, petit cochon, restaurant, cinéma, marche, velov, accident.

En ce doux soir de mai, le seul mot qui me vient reste néanmoins solitude.
Juste ce soir, juste maintenant, juste comme ça, juste à cause de tout ça, un point c'est tout.

Et ça m'emmerde.

Vendredi 25 avril 2008 à 17:39


Etre dans son lit serait une expérience à la fois parfaite et sublime si l'on
pouvait avoir un crayon assez long pour dessiner sur le plafond.


[Gilbert Keith Chesterton]

Mercredi 19 mars 2008 à 11:51

AAAhh ! Non, pas de 2 !
- Aujourd'hui, j'ai 20 ans -

Jeudi 6 mars 2008 à 13:46


Ce soir, je n'ai encore rien à faire. Et ce "encore" ne signifie pas que je ne fais rien depuis longtemps et que je n'ai toujours rien à faire. Non, ce "encore" signifie que personne ne m'a encore prévenu pour sortir. En même temps, il n'est que 13h30, et l'après-midi peut me réserver certaines surprises.
Certes, mais je ne sais pas, je ressens une sorte d'angoisse au fond de moi. Comment serait-il possible que je ne sorte pas un jeudi soir. Comment vais-je faire si je ne bois un verre avec quelqu'un ce soir. Comment envisager de passer la soirée seule devant la télé. J'ai peur d'être seule durant une soirée. Ça ne m'est pas arrivé depuis si longtemps au point que ça m'angoisse terriblement. Cela fait des semaines que je sors, que je bois, que je m'amuse, que j'oublie ce que je fais, que je dors en cours, et que j'ai l'impression de profiter à fond de tout ce que je fais et de n'avoir plus de temps pour moi. J'ai un bleu énorme sur la cuisse suite à une chute sur un trottoir alors que je faisais la course sur les épaules de quelqu'un. J'ai le ventre complètement déraillé à force d'être imbibé tous les soirs. Mais je n'ai pas envie de changer, je n'ai pas envie de sortir moins, je n'ai pas envie de me morfondre seule chez moi. J'ai tout de même l'impression de ne pas aller très bien. D'être peut-être allé un peu trop loin. Trop loin au point de ne pas envisager un jeudi soir sans alcool. Mais j'ai envie de rencontrer des gens, de faire de nouvelles connaissances, d'aller au bout de mes limites, et de rire encore et encore tout en faisant des glissades dans de certaines pentes rousses. J'ai envie qu'on me regarde, j'ai envie que les gens se retournent sur mon passage. J'ai envie d'être désirable et désirée. Je suis simplement heureuse quand on me sourit et qu'on ai envie de parler avec moi. Je ne suis pas sûr d'être au mieux de ma forme. J'ai besoin de dormir, mais je ne m'endormirais jamais avant 1heure du matin. J'ai besoin de manger équilibrer et je mange des pâtes depuis trois jours. J'ai l'impression de m'éloigner terriblement de mes vrais amis, ceux que je connais depuis toujours, au profit de ceux qui sont actifs et qui sortent tous les soirs. Quelle monstruosité que de laisser les mots aller, alors que l'on est tiraillée.
De cette vie d'étudiante, je n'arrive pas à tout retenir, je n'arrive pas
à tout contrôler, et ça m'angoisse.
Et merde.

¤ Butterfly ¤

Samedi 16 février 2008 à 21:23

C'est la première fois depuis bien longtemps que j'écris sans réfléchir, et putain qu'est ce que ça fait du bien !

Samedi 16 février 2008 à 21:19


Descartes a dit qu'il fallait douter de tout. Mais à force de douter de ses sentiments, de sa vie,
de ses amis, et de ses envies, n'en n'oublie-t-on pas l'essentiel ?

Je doute de tout ce qui peut m'arriver, je doute de l'avenir, je doute de la sincérité des gens, je doute de mes sentiments, je doute de la confiance que je peux avoir, je doute de mes capacités qu'elles soient physiques ou mentales, je doute de ce que je peux écrire, dire ou faire, je doute de mon orientation, je doute de ce qu'on m'a appris, je doute tout simplement de moi, et ça c'est certainement le pire.

[Les doutes, c'est ce que nous avons de plus intime.]
Albert Camus


Mais à trop douter, a trop repenser le monde, j'en oublie de vivre, j'en oublie de faire ce qu'il me semble bon au moment présent, j'en oublie le principal ... Vivre.
Ce n'est pas le moment de prendre des bonnes résolutions, les fêtes de fin d'année sont passées, mais peu importe. Je ne veux plus douter, pour retrouver le sourire, pour réapprendre à rire, pour m'étonner et être surprise par les êtres et le monde qui m'entoure.
Je veux de la folie, de la spontanéité, de la sincérité, du bonheur et de la joie.
Je veux douter avec modération.

S'il te plait. Ne me laisse plus douter de moi.
Ne me laisse pour douter pour toi.


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