Butterfly

Amis gastronomes, bonjour …

Y’a des choses qui m’ont toujours émerveillées … Enfin, c’est p’tete pas le terme exact, je le conçoit tout a fait … Disons que l’autre jour, j’étais seule a midi chez moi … Quoi de plus banal, je l’avoue. La feinte vient du fait qu’il n’y avait strictement rien a mangé, a réchauffer, ou a sortir de quelconque boite que ce soit …
Hormis …  Un plat de William Saurin (on censure la pub ici aussi ?) intitulé :

¤ Emincé de volaille à la crème et son riz pilaf ¤

J’veux pas dire, mais jusque là, ça n’a pas l’air trop immonde… Je précise bien, jusque là.
Vient ensuite l’étape d’observation du paquet …
Tout va bien, plus ou moins appétissant, mais pas non plus repoussant …
On va dire ça comme ça …

« Simplifiez vous la vie, et faites vous plaisir » …
Alléchant comme titre, non ?
 « Tendres morceaux de volaille nappés d’une sauce relevée aux échalotes, liée a la crème, agrémentée de champignons. Ce plat est accompagné
d’un riz pilaf cuit juste a point »
( Kichette réalise qu’elle est en train de recopier ce qu’il y a d’écrit sur un emballage Williams Saurin … Rien de grave, j’vous rassure …)

Donc, concrètement, d’après l’emballage, cette chose est un petit bijou
a déguster sans plus tarder …
Vient alors l’étape ou il faut percer le film de l’assiette de plusieurs trous avant d’y mettre au micro-ondes … Une sorte de liquide blanchâtre, sans consistance, fait apparition … Bon … On va rien dire, on va faire comme si de rien était, on verra après …
2 minutes au micro-onde plus tard
... j’ouvrais l’opercule de la boite … Et là …
C’est le drame …