
* Butterfly *
Mercredi 14 septembre 2011 à 12:35
Lundi 24 janvier 2011 à 14:50
Dimanche 16 janvier 2011 à 17:08
Mercredi 18 mars 2009 à 23:55
- Moi -
- Ces bras me manquent - Sa présence dans le lit me manque - Nos jeux me manquent - Ces murmures me manquent - La façon dont il avait de poser les yeux sur moi me manque - Ses sms du soir me manquent - Nos éclats de rire me manquent - Nos projets me manquent - Nos rires, nos peines, notre complicité me manquent - Son odeur me manque - Ses baisers me manquent - Ses petites manies me manquent - Ses histoires me manquent - Nos envies me manquent - Nos désirs me manquent - Sa façon d'être me manque - Son toucher me manque - Son torse me manque - Ses massages, bien que rares, me manquent - Son petit creux me manque - Son rire me manque - Son visage me manque - Sa tendresse me manque - Sa douceur me manque - Sa joie de vivre me manque - Sa façon de se faire pardonner me manque - Ses chaussettes qui trainent me manquent - Son impulsivité me manque - Son dynamisme me manque - Nos soirées Dvd me manquent - Sa chaleur me manque - Sa folie me manque - Ses raleries me manquent - Sa main me manque - Son corps me manque - Son sourire me manque - Sa générosité me manque - Son uniforme me manque - Sa sociabilité me manque - Son amour me manque - Sa dévotion me manque - Il me manque -
- Lui -
Lundi 16 mars 2009 à 1:16
... Pour toi, je serais allée au bout du monde ...
... Sans moi, tu es parti au bout du monde ...
... Sans toi, j'ai cru que la fin du monde était là ...
[Anais - Le premier amour ]
Mercredi 5 novembre 2008 à 19:17
Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.
[Pierre de Ronsard]
Vendredi 31 octobre 2008 à 22:21
Je crois avoir compris. Je sais pourquoi je me sens si faible, si inférieure, ni dérisoire.
J’ai tellement l’impression que les gens autour de moi sont mieux, dans le sens où ils font plus de choses, où ils profitent plus de chaque instants. J’ai le sentiment qu’autour de moi le monde bouge à mille à l’heure, et que je reste là, à le regarder, sans savoir quoi faire.
Je suis là, à vadrouiller sur la toile, à regarder au fil des heures ce qui se passe. Plus je vois les diverses activités des gens défilées, plus je me sens inutile et sans consistance.
Ce que j’ai compris, c’est que tout ne bouge pas aussi vite. Ce n’est qu’en faisant la somme de ce qui se passe que l’on a l’impression que tout va à mille à l’heure. Mais si l’on tient compte de chaque individu indépendamment, on se rend compte qu’au final, ils s’ennuient tout autant que vous. Est-ce que la vie de chacun est aussi palpitante qu’elle en à l’air ? Est-ce que les autres ne se font pas éperdument chier à des moments ? Est-ce que dans la petite vie de chacun il n’y a pas des « coups de bourre » et des « grands moments de solitude » ?
A quoi bon regarder la vie des autres s’écouler si c’est pour ne plus faire attention à la sienne ?
L’ennui me ronge, je vais ronger l’ennui ! Et toc !
¤ Butterfly ¤
Vendredi 31 octobre 2008 à 14:21
"Quand on a peur, c’est qu’on a encore quelque chose à perdre".
Moi j’ai peur, beaucoup, et de plus en plus ces temps ci. Peur de passer à côté de quelque chose, peur de perdre mes jeunes années, perdre de me tromper et de le regretter.
J’ai 20 ans, je suis avec un garçon adorable. J’ai connu quelques expériences avant, sans souvenirs glorieux. Je suis bien, c’est certainement le principal. Mais je suis terrifiée à l’idée de grandir, je suis terrifiée à l’idée de prendre des années, pour la simple et bonne raison que je n’en ai aucune envie. Il y a déjà des gens de mon entourage, des gens du lycée, qui ont pris la décision de se marier ou bien de faire un enfant. Dans ma tête, je ne suis pas prête et je suis très loin de l’être.
Est-ce que je ne veux pas me marier parce que je ne suis pas prête ? Ou bien est ce que je ne veux pas me marier parce que c’est avec Lui ? Est-ce que ça ne sera pas trop tard si je m’en rends compte dans plusieurs années ?
Quand on est célibataire, on fait tout pour rechercher une relation durable, quelqu’un que vous aimez et qui vous aime en retour. Cela parait si merveilleux. Mais quand vous êtes en couple, et que vous doutez pour des absurdités, vous adoreriez qu’il n’y ait pas « d’enjeu », que tout soit aussi simple qu’au lycée. Il ne me plait plus, je le quitte. A vrai dire, ils ne m’ont jamais vraiment plus, alors que celui là. Je détruirais sur place la fille qui tente un tant soit peu de poser sa main sur lui. Je suis excellemment bien dans ses bras, et je ne veux pas qu’une autre puisse en profiter.
Mais je reste terrorisée à l’idée de passer à côté de quelque chose. A quoi servent les nombreuses et multiples expériences des jeunes étudiants de 20 ans ? J’aimerais le savoir, j’aimerais savoir ce que ça apporte, j’aimerais savoir si ça vaut le coup de tout lâcher pour ça. Oh non, je suis loin de la dulcinée renfrognée qui se cache dans son château en attendant le prince charmant. Je sors (beaucoup), je bois (beaucoup), je ris (le plus souvent possible), je vois mes amis (quand ils sont disponibles), je fais des rencontres (agréables). J’ai les avantages de la vie nocturne d’étudiants, c’est certain. Mais, je ne laisse pas aller le côté nymphomane étudiant qui existe sans nul doute chez une bonne partie de ceux-ci. Est-ce une erreur ? Est-ce que ça apporte quelque chose, mise à part de se rendre compte que j’ai laissé tomber un garçon dont je suis éperdument dingue pour me rendre compte que ce n’est pas mieux ailleurs ? Qu’est ce que cela apporte de coucher avec d’autres, sachant que je suis parfaitement épanouie avec l’homme avec qui je suis ?
J’ai besoin d’avis externe. Tout de suite.
Il faut se rappeler que ce qui est important c’est aujourd’hui.
¤ Butterfly ¤
Mardi 28 octobre 2008 à 13:55
Changement de version.
On s'adapte. On remanie. On retente. On repart ?
Lundi 11 août 2008 à 0:54
Mardi 8 juillet 2008 à 19:47
On s'est oublié, on s'est éloigné, on a laissé le temps et
la routine s'installer, on a laissé les autres empiéter sur notre territoire,
on a laissé les choses faire sans se poser de questions, sans se parler, sans
aborder le sujet, sans vouloir vraiment faire des efforts pour que ça
s'arrange.
Arrive alors le moment où l'on a plus envie de se voir, où
l'on traîne des pieds pour se rendre à un rendez-vous, où l'on se retourne sur
les individus de sexe opposé et où l'on ne se manque plus.
La phase suivante est délicate, conflictuelle, difficile à
vivre physiquement et mentalement. On se sépare, on se téléphone, on pleure, on
hésite, on doute, on cherche du réconfort, on essaye de sourire tant bien que
mal, on pèse le pour et le contre, on se demande si on ne serait pas mieux avec
quelqu'un d'autre, puis on se dit que ce n'est pas possible, qu'on ne peut pas
en rester là, qu'il y a autre chose à vivre, autre chose à découvrir, autre
chose à faire.
Et puis sur un coup de tête, après maintes et maintes négociations,
on se voit et on se serre fort dans les bras. On espère de tout cœur que tout
va repartir, que tout va redevenir comme avant, mais on ne sait pas, on est
terrifié, on pleure, on expulse toute cette haine et cette peur qui nous ronge.
Ne pas savoir est sans doute l'une des pire choses au monde.
L'inconnu nous ronge de l'intérieur mais nous fait en même temps avancer. C'est
ce même inconnu qui est en lien étroit avec l'espoir, cette bribe d'espoir qui
est encore au fond de nous et qui nous dit de foncer, de ne pas réfléchir, de
ne pas se retourner, d'essayer de perdre les habitudes ancrées depuis si
longtemps, d'essayer de se rééquilibrer et d'avancer ensemble sur cette corde
raide. On va essayer, on va voir ce que ça va donner, on va surtout y croire et
ne plus réfléchir afin de vivre au jour le jour l'instant présent.
Dimanche 6 juillet 2008 à 14:27
Dimanche 6 juillet 2008 à 13:52
Elle était si jolie… si naïve… encore si pure et immaculée,
comme un joli linge de soie que l'on n'aurait encore osé porter. Elle avait
dans ses yeux quelque chose de différent… quelque chose de naturel et d'une
extrême sincérité. C'était beau à voir, tout simplement. Cela faisait bien
longtemps que je n'avais croisé un tel regard… à en tomber à la renverse
tellement ce même regard vous renvoie des choses sur vous-même et sur ce que
vous êtes devenu.
Elle avait de la bonté, de la générosité, une âme naturellement
bonne. Quand je parle d'âme, je ne traite pas de tout ce qu'il est religieux,
mais plutôt de quelque chose de plus profond, de plus spirituel. Il y a cette
chose en nous… il y a cette chose en elle qui est belle… qui déborde à travers
ce regard émeraude, il y a cette chose merveilleuse que j'ai croisé et que j'espère
ne pas trop perdre de vue.
Qu'elle reste telle qu'elle est, fidèle à elle-même, et ce
sera un geste admirable.
Lundi 26 mai 2008 à 23:42
Vendredi 25 avril 2008 à 17:39
Mercredi 19 mars 2008 à 11:51
Jeudi 6 mars 2008 à 13:46
Samedi 16 février 2008 à 21:23
Samedi 16 février 2008 à 21:19